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Title : | Le Marchand de robinets ; chansonnette comique créée par Sulbac |
Composers and/or lyricists : | Jouy, Jules ; Gerny, Ernest |
Performers : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] |
Content type : | Café-concert |
Audio file : | |
Recording medium : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Pathé |
Catalogue number : | 1948 |
Recording date : | 1898 |
Instruments : | mirliton acc., piano acc. |
Color of the material : | marron |
Condition : | Exc+++, monter à la fin |
Speed (rpm) : | 130 |
Tools used for data transfer : | Archéophone, pointe Edison elliptique sur Ortofon declick, decrackle |
Transfer date : | 2010-01-16 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. Boîte rouge sombre. Charlus chante ici en anonyme. Intéressant accompagnement de mirliton. Cf. "Trompette et robinet" (Paul Lack). Une lithographie de Gavarni montre un marchand de robinets réparateur de fontaines s'annonçant au clairon |
Text or lyrics : | Le marchand de robinets
Création : Sulbac - reprises Charlus, Bravo Paroles : Jules Jouy - Musique : Ernest Gerny - Éditeur : Émile Benoit - Paris (circa 1898) La partition : Ma sœur pose chez les peintres Ma mère pose des sangsues Moi, j’pose des robinets En chantant dans les rues Si vous trouvez votre femme Avec un étranger Pour éviter un drame Faut pas les déranger Aux abattoirs, hier Deux veaux se sont sauvés L’soir, aux Folies-Bergère On les a retrouvés Pour prendre une bonne purge Le moyen est connu : On l’avale par la bouche On la rend par le … nez N’écoutez pas les femmes Qu’on rencontre à minuit A’ sont comme les punaises A’ s’promènent que la nuit L’problème de la fortune Est très simple, vraiment : Quand on est sans fortune C’est qu’on n’a pas d’argent Quand je chôme, la nuit j’couche Dans un tuyau à gaz L’mois prochain, j’déménage Faut profiter d’l’occase S’il tombait des gouttières Autre chose que d’la pluie Les femmes s’raient les premières À v’nir sans parapluie Pour faire une écumoire Le moyen est bien simple Vous prenez des p’tits trous Vous mettez du zinc entre L’autre jour, un homme s’est j’té D’un sixième, rue Berthe L’pauvre homme laisse cinq enfants Et la fenêtre ouverte Mon voisin, qui tousse fort Crache à briser les vitres Le concierge qu’est pas fort A pris ça pour des huîtres Quand ma pauvre belle-mère Aura fini ses jours D’vant sa tombe, au cimetière J’prononcerai c’discours : (ritournelle : Ta ta ta ta ta...) |
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