Advanced search | Simple search | Start new search | Home page |
2986 results found
1 51 101 151 201 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1113 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1451 1501 1551 1601 1651 1701 1751 1801 1851 1901 1951 2001 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2401 2451 2501 2551 2601 2651 2701 2751 2801 2851 2901 2951 2986 |
Title : | La levrette de la marquise | ||||||||
Composers and/or lyricists : | Gangloff, Léopold ; Pradels, Octave | ||||||||
Performers : | Gabin [Ferdinand Joseph Moncorgé] | ||||||||
Content type : | Café-concert | ||||||||
Audio file : | |||||||||
Images : | |||||||||
Recording medium : | Cylindre | ||||||||
Format : | Standard (enregistrement acoustique) | ||||||||
Recording location : | Paris, France | ||||||||
Manufacturer, label : | Columbia | ||||||||
Recording date : | 1900 ou avant | ||||||||
Instruments : | chant homme , piano acc. | ||||||||
Color of the material : | marron | ||||||||
Condition : | Exc+ | ||||||||
Speed (rpm) : | 116 | ||||||||
Tools used for data transfer : | Archéophone, pointe 2min sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat | ||||||||
Transfer date : | 2021-03-23 | ||||||||
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. Sur l'air de "La boiteuse". Il existe une autre prise de la même chanson par Ferdinand Gabin dans l'intégrale Jean Gabin en double CD de l'éditeur Frémeaux & associés. | ||||||||
Text or lyrics : | La levrette de la marquise
Création : Paulus à Ba-Ta-Clan et Maurel à l'Alcazar d'été (1893) - reprises : Gabin (1903), Charlus (1907) Paroles : Octave Pradels - Musique : Léopold Gangloff - Éditeur : Répertoire Paulus - Delormel et Cie - Paris (1893) / Paulus Grim La partition : La marquise de Pontcassé Par inadvertance a laissé Sa petite levrette -un amour !- Descendre seule dans la cour Oh ! Comme le printemps sourit Met des turlutaines dans l'esprit Mirza n'est pas fâchée du tout D'être abordée par un toutou Il la salue d'élégante manière D'abord par devant, ensuite par derrière L'œil enflammé du petit céladon Dit clairement "Viens donc, viens donc, viens donc !" "Mais, répond, tremblante Mirza Où ça ? Où ça ? Où ça ?" "Ne prenez pas ces airs craintifs Y a rien d' tel pour les bons motifs Que les sportifs" Attirée par un cri d' terreur La marquise accourt ; quelle horreur ! Sa levrette au museau pointu Signait la cession d' sa vertu Des chiens avaient fui, mais tout seul Restait un superbe épagneul Donnant à sa belle en c' moment Une preuve de tendre sentiment La noble dame, transportée de colère Frappait par devant, frappait par derrière La pauvre Mirza dont l'œil de pleurs noyés Disait "Pitié, pitié, pitié, pitié !" Et l'épagneul, de son côté pensait, très embêté "J' donnerais bien deux sous et même mieux Pour être de quelques minutes plus vieux Ah, mes aïeux !" La marquise pour empêcher Désormais Mirza de pécher Consulta son bon confesseur Un saint homme, mais un vieux farceur Et tous deux dans le recueillement À force de chercher patiemment Trouvèrent un moyen très osé Qui stupéfia monsieur Lauzé À la levrette ils mirent deux muselières Une par devant, l'autre par derrière Et depuis lors les chiens, devant Mirza Disent, intrigués "Qu'est-ce qu' ça ? Qu'est-ce qu' ça ? Qu'est-ce qu' ça ? C'est un phénomène épatant ! Voyons, voyons pourtant…" Mais bientôt l' toutou consterné Au seuil de l'Éden condamné Se casse le nez ! |
Advanced search | Simple search | Start new search | Home page |