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Titre : | La bonne vieille |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Chatau, Henri ; Béranger, Pierre-Jean de |
Interprète(s) : | Maréchal, André |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de catalogue : | 3431 |
Numéro de matrice : | 4023 |
Instruments : | piano acc. |
Couleur de la pâte : | noir moulé |
État : | tbon |
Vitesse (tours/minute) : | 160 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 2 minutes sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat |
Date du transfert : | 20-04-2012 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Coll. Musée des arts et métiers |
Texte du contenu : | La bonne vieille
Paroles : Pierre-Jean de Béranger - Musique : Henri Chatau - Éditeur : Théodore Michaelis (1878) Vous vieillirez, ô ma belle maîtresse : Vous vieillirez et je ne serai plus. Pour moi le temps semble, dans sa vitesse, Compter deux fois les jours que j'ai perdus Survivez-moi, mais que l'âge pénible Vous trouve encor fidèle à mes leçons. Et, bonne vieille au coin d'un feu paisible, De votre ami, répétez les chansons {x2} On vous dira : Savait-il être aimable ? Et sans rougir vous direz : Je l'aimais. D'un trait méchant se montrait-il capable ? Avec orgueil, vous répondrez : Jamais. Ah ! dites bien qu'amoureux et sensible D'un luth joyeux, il attendrit les sons ; Et, bonne vieille au coin d'un feu paisible, De votre ami, répétez les chansons {x2} Vous que j'appris à pleurer sur la France Dites surtout aux fils des nouveaux preux Que j'ai chanté la gloire et l'espérance Pour consoler mon pays malheureux Rappelez-leur que l'aquilon terrible De nos lauriers a détruit vingt moissons Et, bonne vieille au coin d'un feu paisible, De votre ami, répétez les chansons {x2} |
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