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Titre : | Pensée d'automne (1) |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Massenet, Jules ; Silvestre, Armand |
Interprète(s) : | Vaguet, Albert |
Genre : | Mélodie de concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de catalogue : | 3746-1 |
Numéro de matrice : | 18401-BC |
Inscriptions complémentaires : | 20-12 |
Date de l'enregistrement : | 1905-03-xx |
Instruments : | piano acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 88,7 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4k, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 26-10-2012 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | Pensée d'automne [1 et 2]
Paroles : Armand Silvestre - Musique : Jules Massenet - Éditeur : Heugel, Paris (1889) L'an fuit vers son déclin, comme un ruisseau qui passe Emportant du couchant les fuyantes clartés Et pareil à celui des oiseaux attristés Le vol des souvenirs s'alanguit dans l'espace L'an fuit vers son déclin, comme un ruisseau qui passe Un peu d'âme erre encore aux calices défunts Des lent volubilis et des roses trémières Et vers le firmament des lointaines lumières Un rêve monte encore sur l'aile des parfums Un peu d'âme erre encore aux calices défunts Une chanson d'adieu sort des sources troublées S'il vous plaît, mon amour, reprenons le chemin Où tous deux, au printemps, et la main dans la main Nous suivions le caprice odorant des allées Une chanson d'adieu sort des sources troublées ! Une chanson d'amour sort de mon cœur fervent Qu'un avril éternel a fleuri de jeunesse Que meurent les beaux jours ! Que l'âpre hiver renaisse ! Comme un hymne joyeux dans la plainte du vent Une chanson d'amour sort de mon cœur, de mon cœur fervent ! Une chanson d'amour vers ta beauté sacrée Femme, immortel été ! Femme, immortel printemps ! Sœur de l'étoile en feu qui, par les cieux flottant Verse en toute saison, sa lumière dorée Une chanson d'amour vers ta beauté sacrée Femme, immortel été ! Femme, immortel printemps ! |
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