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Titre : | C'est la vie, c'est l'amour |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Billaut, Louis ; Le Peltier, Raoul |
Interprète(s) : | Junka |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 35 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de double-face : | 2951 |
Numéro de catalogue : | 4487 |
Numéro de matrice : | 64000RA |
Inscriptions complémentaires : | 15-9 |
Date de l'enregistrement : | 1911-01-xx |
Instruments : | orchestre acc. |
État : | Exc+ |
Vitesse (tours/minute) : | 89,2 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,3ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe Westrex passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 04-12-2012 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | C'est la vie, c'est l'amour
Création : Dickson - Paroles : Raoul Le Peltier - Musique : Louis Billaut - Éditeur : Delormel Vêtue de rien du tout Mais toujours avec goût Ses cheveux blonds en auréole Jolie fleur d’atelier Qu’un rien peut étioler Elle allait dans le Paris frivole Et d’un air malicieux Elle accueillait tous ceux Qui voulaient lui conter fleurette Car en elle parfois S'élevait une voix Qui disait : Méfie-toi, fillette {Refrain :} Si ton cœur s’éveille un jour À la vie, à l’amour Tu verras dans la douleur Chavirer ton bonheur Puis un autre espoir naîtra Ton chagrin s’en ira Ne crains rien, en tout cas L’amour, tu verras On n’en meurt pas Or un jour, l’amour vint Et, mensonge divin Tout céda devant son mirage Ce fut un étudiant Qui l’aima simplement Un printemps, trois mois, pas davantage Et par un soir brumeux Sur les quais ténébreux Vers la Seine attirante et sombre Elle allait tristement Lorsque le flot mouvant Lui sembla murmurer dans l’ombre : {Refrain final :} Si ton cœur se brise un jour C’est la vie… C’est l’amour ! On paie cher un court bonheur De chagrin, de douleur Et les voiles de l’oubli Cachent mal sous leur pli L’amertume des pleurs Lointaines douleurs Le cœur en meurt |
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