Advanced search | Simple search | Start new search | Home page |
2365 results found
1 51 101 151 201 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1451 1501 1551 1601 1651 1701 1751 1801 1851 1901 1946 1951 2001 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2365 |
Title : | Quand on a travaillé |
Composers and/or lyricists : | Louis, Antonin ; Delormel, Lucien ; Briollet, Paul ; Gerny, Ernest |
Performers : | Lejal, Victor |
Content type : | Café-concert |
Audio file : | |
Recording medium : | Disque |
Format : | 27 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Beka Ideal symphonie |
Catalogue number : | 9067 |
Recording date : | 1906 |
Instruments : | orchestre acc. |
Color of the material : | noir moulé |
Condition : | Exc++ |
Speed (rpm) : | 80 |
Tools used for data transfer : | Garrard 401, SME 3012 |
Transfer date : | 2009-02-22 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. |
Text or lyrics : | Quand on a travaillé
Création : Victor Lejal à la Scala (1897, enregistré en 1898) - reprises : Gabin (1898 à la Cigale), Charlus (1898), Grisard (1903), Arnould (1903), Dutreux (1905), H. Cartel (1908), Paul Lack (1909), Jean Péheu (1909), Lucien Lejal (1930) Paroles : Paul Briollet, Ernest Gerny - Musique : Antonin Louis, Lucien Delormel - Éditeur : Répertoire Lejal La partition : ------------------- Samedi, mon patron m' dit "M'sieur Eugène Vous travaillez bien, j' suis très content d' vous V'nez dans ma villa près de La Varenne Passer la journée d' dimanche avec nous" Le lendemain matin, je prends l' train d' dix heures Mais comme de la gare il reste un peu loin J'ai fait plus d' deux lieues pour trouver sa demeure Par une pluie battante en chantant c' refrain : {Refrain:} Quand on a travaillé Pendant six jours entiers On est rudement content De s' payer d' l'agrément Quand on a travaillé Pendant six jours entiers On est heureux d' sortir Pour faire une bonne partie d' plaisir À mon arrivée, l' patron m' dit "J' vous l' jure Je pensais plus à vous, y a rien à manger Montons dans l' bateau chercher une friture Comme apéritif ; vous jetterez l'épervier" J'empoigne le filet, gracieusement je l' jette Je r'tire un corset puis un godillot Je m' penche un peu trop, dans l'eau j' pique une tête Pendant qu' le patron s' tordait dans l' bateau {au Refrain} Chez lui nous r'venons, il m' fait mettre une blouse Et me dit "Maintenant, pour vous réchauffer Vous allez vous mettre à faucher ma pelouse Puis vous bêcherez tout mon potager Vous prendrez l'échelle, vous peindrez la grille Vous brouetterez ce gros tas d' gravois De mes arbres ensuite, vous enlèverez les chenilles Puis quand ce sera fait, vous scierez du bois" {au Refrain} Après le dîner, y avait une soirée La patronne me dit "Vous êtes musicien Pour vous reposer de votre journée Jouez-nous donc quéqu' chose". J' lui réponds "J' veux bien !" Pour leur faire plaisir, au piano j' m'installe J'ai joué la Czarine au moins deux cent fois J'ai faussé trois notes, cassé les pédales À minuit et demi, j' sentais plus mes doigts {au Refrain} Par le premier train j' reviens à la ville J' cours vivement chez moi, je m' change sans retard J' vais au magasin d'un p'tit pas tranquille Et j'arrive juste un quart d'heure trop tard L' patron apprend ça, il m' dit "Elle est forte ! C'est d' cette manière-là que vous m' récompensez ? Et sans plus d' façon il m' fiche à la porte Mais quelle bonne journée il m'a fait passer ! {au Refrain} |
Advanced search | Simple search | Start new search | Home page |