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Title : | Elle avait seize ans |
Composers and/or lyricists : | Scotto, Vincent ; Roydel, Louis |
Performers : | Flor, Jean |
Content type : | Café-concert |
Audio file : | |
Images : | |
Recording medium : | Disque |
Format : | 35 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Pathé |
Double-side number : | 2904 |
Catalogue number : | 2122 |
Matrix number : | 56021-GR |
Recording date : | 1910 |
Instruments : | orchestre acc. |
Condition : | Exc++ |
Speed (rpm) : | 82,6 |
Tools used for data transfer : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,3ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe Westrex passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Transfer date : | 2012-12-04 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. |
Text or lyrics : | Elle avait seize ans
Création : Jean Flor (1908) - reprises : Alice Rivière, Elvhard, Jane Diéna, Jane Luxeuil, Luce Berthyl, Lucil Merys, Manel, Paul Dalbret, Suzanne Chevalier, Suzanne Valroger, Vilette Paroles : L. Roydel - Musique : Vincent Scotto - Éditeur : Digoudé-Diodet (1908) La taille fine et faite au tour Une fleurette à son corsage C'était une enfant du faubourg Qu'il rencontra sur son passage Sans savoir pourquoi ni comment Il remarqua sa toison blonde Et depuis ce joyeux moment Pour elle il oubliait le monde Tous ses sens, amoureusement La désiraient éperdument {Refrain :} Elle avait seize ans Lui, dix-huit à peine C'était le printemps Saison souveraine Il fit mille serments Le cœur en délire Connut les tourments Sans oser rien dire Elle avait seize ans C'était le printemps ! Pour l'embrasser plus longuement Il chercha des endroits bien sombres Ils étaient assis sur un banc Quand, tremblantes, passèrent deux ombres C'est trop d'aplomb, disait le vieux D' s'embrasser de façon pareille Quel siècle ! Où allons-nous, mon Dieu ? Quand soudain j'entendis la vieille Elle disait : Tais-toi, ronchonneux Jadis nous avons fait comme eux {Refrain :} Moi, j'avais seize ans Toi, dix-huit à peine C'était le printemps Saison souveraine Quand je te disais : V'là des gens qu' ça choque Toi, tu m'embrassais Disant : Je m'en moque Nous avions vingt ans C'était le printemps ! |
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