Advanced search | Simple search | Start new search | Home page |
2365 results found
1 51 101 151 201 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1451 1501 1551 1601 1651 1701 1751 1801 1830 1851 1901 1951 2001 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2365 |
Title : | Faut s'rendre utile |
Composers and/or lyricists : | Blondelon, Gaston ; Yéruc, Georges |
Performers : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] |
Content type : | Café-concert |
Audio file : | |
Images : | |
Recording medium : | Disque |
Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Pathé |
Double-side number : | 2624 |
Catalogue number : | 3312 |
Matrix number : | 64620RA -4 |
Instruments : | orchestre acc. |
Speed (rpm) : | 90-100 |
Tools used for data transfer : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,8ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe Westrex passe-bas 2kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Transfer date : | 2010-05-07 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. |
Text or lyrics : | Faut s' rendre utile
Création : Victor Lejal à la Scala (1907) - Paroles de G. Yéruc - Musique de Gaston Blondelon - Éditeur : Marcel Labbé version Charlus : L'autre jour, Léon, un vieil ami d'enfance Marié depuis peu, m'écrivit : Mon gaillard Puisque ton patron te donne des vacances Viens donc les passer chez nous à Montbéliard J'accepte, il m'envoie alors dans une lettre Une liste d’achats en m' disant : Victor Avec tes bagages tu pourras les mettre Ça nous évit'ra d'en payer l' transport J'avais cent kilos d'excédent Mais je pensais, le cœur content : {Refrain :} Quand on se trouve invité I' n' faut pas être emprunté On arrive tout en nage Chargé d'un tas de bagages On se donne un mal de chien On s'esquinte mais ça n' fait rien Pour agir de façon civile Faut s' rendre utile Je fus r'çu chez eux d'une façon princière Mais, le lendemain, voilà qu' l'ami Léon M' dit : C'est aujourd'hui le r'pos d' la cuisinière C'est bien embêtant pour nous, crénom de nom ! Ma femme s'y entend très peu en cuisine Mais je m' souviens qu' dans l' temps au régiment Tu f'sais des plats à s' lécher la babine Tu vas pouvoir exercer tes talents Alors, par quarante degrés d' chaud Je chantais devant les fourneaux : {Refrain :} Quand on se trouve invité I' n' faut pas être emprunté J' suis vraiment ravi qu' ma mère M'ait appris l'art culinaire Tâchons que l' veau soit à point Des carottes prenons bien soin Dans les circonstances difficiles Faut s' rendre utile Enfin, le sam'di, Léon me dit : C'est chouette C'est demain, mon vieux, la fête du pat'lin Pour bien décorer notr' petite maisonnette Tu voudras, j'espère, me donner un coup d' main Naturell'ment j’accepte la corvée Mais comme sur le toit j' plantais un drapeau Je tombe, on m' relève, la jambe cassée Puis à l'hôpital on m' conduit au trot Pendant que l' méd'cin m' charcutait Philosophiqu'ment, j' répétais : {Refrain :} Quand on se trouve invité De rien faut être épaté Il vous arrive des choses Jamais gaies, souvent moroses Mais voilà que l' chirurgien M' dit : T'nez donc votr' jambe, nom d'un chien ! Tâchez au moins, 'spèce d'imbécile D' vous rendre utile ! |
Advanced search | Simple search | Start new search | Home page |