Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
2365 résultats trouvés
1 51 101 151 201 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 729 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1451 1501 1551 1601 1651 1701 1751 1801 1851 1901 1951 2001 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2365 |
Titre : | La petite bretonne |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Berniaux, Désiré ; Bénech, Ferdinand-Louis |
Interprète(s) : | Mayol, Félix |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 27 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | APGA |
Numéro de catalogue : | 1960 |
Numéro de matrice : | A98 |
Instruments : | orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 79 |
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, SME-Clément, pointe 3,2ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe US30, passe-bas 6,5kHz : Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 28-11-2017 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Pochette Cigalophone E. Bourrelly et L. Carvin 30 b, rue de Rome et 3, rue Pisançon (1er étage) Marseille. Lecture, cas d'école : il faut une pointe plus grosse en taille, du fait d'un incident de pressage vers la fin |
Texte du contenu : | La petite bretonne
Création Mayol (1907 aux Folies Bergère de Rouen puis à l'Alcazar d'Été) - reprises : Carvey (1907), Charlus (1908), Jean Péheu (1909), Bérard (1911), Raival, Paul Dalbret, Georgel Paroles : Ferdinand-Louis Bénech - Musique : Désiré Berniaux - Éditeur : Charles MAyol (1908) J’flânais un soir, place Pigalle Rêvant d’amour idéal D’une femme qui m’donnerait son cœur Et dont j’posséderais la fleur Quand soudain, d’vant moi J’aperçus le plus joli minois [Charlus : J'aperçois le plus joli minois] Naïf et coquet C’était mon rêve qui passait ! Sans le vouloir, instinctivement Je la suivis en détaillant {Refrain :} Son p’tit bonnet blanc, son tablier noir Une croix pendue En guise de sautoir Lui donnaient une mine ingénue Et d’vant ses grands yeux, ses grands yeux si bleus J’m’écriai joyeux : — Ah ! qu’elle est mignonne La petite Bretonne ! Elle se r’tourna en souriant Je l’abordai timid’ment : — Permettez-moi d’vous offrir Ce bouquet, ça m’f’ra plaisir [Charlus : Ce bouquet, ça m' f'rait plaisir] Je lui fis la cour Lui jurant de l’adorer toujours Enfin triomphant Je l’emm’nai dans mon log'ment Elle se fit prier, supplier Et finit par s'déshabiller [Charlus : Puis finit par s'déshabiller] {Refrain :} Sans son bonnet blanc, sans tablier noir Sa p’tite croix pendue Sur sa peau d’ivoire Elle semblait encor plus ingénue Et d’vant tant d’candeur, j’lui dis sincèrement : — Je n’ose plus maint’nant Tu es trop mignonne Ma petite Bretonne ! Elle me répondit alors : — Tu m’fais d’la peine, mon trésor Penses-tu qu’je n’sais pas, chéri C’que nous sommes venus faire ici ? [Charlus : C' que l'on est v'nus faire ici?] J' fus pendant trois ans Étoile du demi-monde élégant Mais maint’nant, vois-tu Chapeaux, toilettes, ça n’rend plus Les hommes sont dev’nus si vicieux Il leur faut tous la p’tite fleur bleue {Refrain :} Et mon bonnet blanc, mon tablier noir Et ma croix pendue Ça, c’est pour les poires Qui cherchent à s’offrir des ingénues [Charlus : Qui veulent s'offrir des ingénues] Tu vois comme travail si c’est réussi Allons, sois gentil Elle s’ra bien coch… mignonne Ta petite Bretonne |
Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |