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Titre : | L'Aveugle et le paralytique |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Tiska, Joël ; Delormel, Lucien ; Briollet, Paul ; Hiks, Lucien |
Interprète(s) : | Lejal, Victor |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Lioret n°4 (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Lioret |
Date de l'enregistrement : | 1899-1901 |
Instruments : | orchestre acc. |
Couleur de la pâte : | Celluloïd blanc |
État : | Exc+ |
Vitesse (tours/minute) : | 124 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone |
Date du transfert : | 10-04-2006 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. Coll. Jalal Aro. Évocation de la fable de Florian. Bien entendu l'intrigue n'est pas la même |
Texte du contenu : | L'aveugle et le paralytique
Paroles : Paul Briollet, Lucien Hiks - Musique : Joël Tiska, Lucien Delormel - Éditeur : Louise Maurel - Paris (1898) Y avait un pauvre aveugle et un paralytique Qui demandaient l'aumône près d'un hôtel coquet Ils s'étaient associés dans le but très pratique De s' prêter mutuell'ment le sens qui leur manquait Quand l'aveugle recevait une pièce étrangère L' paralytique criait : Ouvrons l’œil, camaro ! Et quand d'vant les agents il fallait s' faire la paire L'aveugle chargeait viv'ment l'impotent sur son dos Un jour vint à passer une femme opulente Qui montrait sous sa jupe un mollet plein d'orgueil Le vieux paralytique lui dit : Vous êtes charmante Et l'aveugle aussitôt s' mit à lui faire de l’œil À ces mots, la p'tite dame se retourne et réplique : V'nez donc jusque chez moi, je vais vous régaler L'aveugle répond : J' peux pas, i' m' manque le nerf optique L'autre s'écrie : J' voudrais bien, mais j'ai les pieds nick'lés Or comme la dame entrait dans une maison meublée Ils voulurent la suivre, mais v'là qu' dans l'escalier L'aveugle se perdit au milieu de l'entrée Et le paralytique resta sur le palier Se souvenant alors d'une fable immortelle L'aveugle à l'impotent dit : J' m'en vais t' prendre sur moi De cette façon, mon vieux, nous pourrons suivre la belle Tu r'garderas pour moi, je marcherai pour toi |
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