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Titre : | La Vénus du Luxembourg |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Vargues, Félicien ; Rimbault, Eugène |
Interprète(s) : | Lejal, Victor |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Lioret n°4 (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Lioret |
Date de l'enregistrement : | 1899-1901 |
Instruments : | orchestre acc. |
Couleur de la pâte : | Celluloïd blanc |
État : | Exc+ |
Vitesse (tours/minute) : | 104 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone |
Date du transfert : | 10-04-2006 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. Coll. Jalal Aro. Lejal chante ici en anonyme. |
Texte du contenu : | La Vénus du Luxembourg
Création : Polin (1896 aux Folies-Bergère) - Paroles : Eugène Rimbault - Musique : Félicien Vargues - Éditeur : Répertoire Polin (1896) Polin : Comme je m’trouvais en sentinelle Dans le Luxembourg dernièrement Je vis une estatue très belle Placée devant moi justement C’était une Vénus en pierre Qu’avait ni jupon ni peignoir Et qui montrait sans plus d’manière Des choses que j’me lassais pas d’voir {Refrain :} Elle était magnifique toute nue Et f’sait si bien sous cette tenue Que j’la r’gardais avec amour Ma belle Vénus du Luxembourg Ma belle Vénus du Luxembourg À force de la r’garder sans cesse J’en d’vins si tellement amoureux Que j’lui dis : Ô belle déesse ! T’as des pieds qui sont merveilleux En t’voyant si simplement mise L’Sénat doit être émerveillé Moi, si seulement j’ôtais ma ch’mise Pour sûr que j’s’rais fusillé {Refrain :} Et tu es magnifique toute nue Tu fais si bien sous cette tenue Que je te r’garde avec amour Ma belle Vénus du Luxembourg Ma belle Vénus du Luxembourg À c’moment, voyant que l’jour baisse J’m’dis : J’vas monter l’embrasser J’grimpe donc à côté d’la déesse Quand j’vois mon capitaine passer Y m’aperçoit d’loin, y me fisque Et m’dit : Quéqu’ vous faites là, farceur ? Je m’dis : J’suis pris, tant pis ! je m’risque J’m’en vas lui dire que c’est ma sœur {Refrain :} Elle était magnifique toute nue Et f’sait si bien sous cette tenue Que j’l’embrassais avec amour Ma belle Vénus du Luxembourg Ma belle Vénus du Luxembourg J’dis : C’est ma sœur nouvellement v’nue Ah ! c’est vot’ sœur, mes compliments Sans feuille de vigne et en statue Vous m’f’rez huit jours, allez, vivement ! Oh ! oh ! ben, si c’est pour ça qu’y r’chigne Comme je r’viens un d’ces quatre matins J’y en mettrai, moi, des feuilles de vigne Et j’y mettrai même des raisins {Refrain :} C’est dommage, elle s’ra plus toute nue Elle s’ra moins bien sous cette tenue Mais j’y dirai tout d’même bonjour À ma Vénus du Luxembourg Ma belle Vénus du Luxembourg ------------------ Lejal : Comme je m’trouvais en sentinelle Au Luxembourg, un beau matin Je vis une estatue très belle Qu’était à l’entrée du jardin C’était une Vénus en pierre Qu’avait ni jupon ni peignoir Et qui montrait sans plus d’manière Des choses que j’me lassais pas d’voir {Refrain :} Elle était magnifique toute nue Et f’sait si bien sous cette tenue Que j’la r’gardais avec amour La belle Vénus du Luxembourg {x2} À force de la r’garder sans cesse J’en d’vins si tellement amoureux Que j’lui dis : Ô ma belle déesse ! T’es une femme comme y en a pas deux En t’voyant si simplement mise L’Sénat doit être émerveillé Moi, si seulement j’quittais ma ch’mise J' parie ben que j’s’rais fusillé {au Refrain} À c’moment, voyant l’jour qui baisse J’m’écrie : J’vais monter t’embrasser J’grimpe donc à côté d’la déesse Quand j’vois mon capitaine passer Y m’aperçoit d’loin, y me fisque Et m’dit : Quéqu’ vous faites là, farceur ? Je m’dis : J’suis pris, tant pis ! je m’risque J’vas y faire croire que c’est ma sœur {au Refrain} J’dis : C’est ma sœur nouvell'ment v’nue Y m’fait : Allez ! j’vous fiche dedans Vu qu’vous aimez une estatue Qu’a pas d’feuille de vigne nonobstant Je m’dis : Si c’est pour ça qu’on r’chigne Comme je r’viens un d’ces quatr' matins J’y en ach’t’rai une de feuille de vigne Mais j’lui paierai pas les raisins {Refrain :} Elle était magnifique toute nue Et f’sait si bien sous cette tenue Et d’main j’irai redire bonjour À ma Vénus du Luxembourg Ma belle Vénus du Luxembourg |
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