Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
2365 résultats trouvés
1 51 101 151 201 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1306 1351 1401 1451 1501 1551 1601 1651 1701 1751 1801 1851 1901 1951 2001 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2365 |
Titre : | Bergerinade |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Charton ; Gay, Paul |
Interprète(s) : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de catalogue : | 2995 |
Numéro de matrice : | 48865-GR |
Date de l'enregistrement : | 1907 |
Instruments : | chant homme, orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 88 |
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, pointe 1,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 27-03-2022 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | Bergerinade
Paroles : Paul Gay - Musique : Charton - Éditeur : Pathé frères, Paris (1907) Je me promenais un beau jour de printemps Savourant la verte nature Lorsque j'aperçus, marchant le long des champs Une divine créature {Refrain :} C'était une bergère Gracieuse et légère Elle n'avait pas d' moutons Mais gardait les cochons M'approchant de la belle Je lui dis, mad'moiselle Sur ce beau chemin-là Où allez-vous comme ça ? Tralalala lalalalala Je n' vais nulle part, me dit-elle Tralalala, je lui dis viv'ment : Moi, j'en arrive justement ! Pendant un instant j'allais parmi le foin Admirant à la dérobée Ses bras vigoureux qui fleuraient le groin Et sa tignasse défrisée {Refrain :} C'était une bergère Gracieuse et légère J' lui dis : Vos p'tits cochons N'ont rien de folichon Et prenant un air tendre J'ajoutai sans attendre : Dans le bois, voulez-vous Qu' nous allions voir le loup ? Tralalala lalalalala Elle me répondit , moqueuse : Tralalala, le loup, voyez-vous Et les cochons, c'est... itou ! Après quelques jours de bonheur, je partis Ayant oublié l'aventure Quand, un beau matin, je la vis à Paris Ayant bijoux, chevaux, voiture {Refrain :} Tu n'es donc plus bergère Murmurai-je, ma chère À ce point-là peut-on Réussir dans l' cochon ? Oui, répond la p'tite folle Je suis dev'nue l'idole D'un riche parvenu Dont je croque les écus Tralalala lalalalala J' les ai gardés par douzaine Tralalala, tandis qu'à présent Un seul est bien suffisant |
Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |