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Titre : | Partenza, chanson napolitaine |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Mercier, Édouard ; Saint-Gilles |
Interprète(s) : | Mercadier, Émile |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 21 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de catalogue : | 1059 |
Numéro de matrice : | 43780-GR |
Instruments : | orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 80 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 3k, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 30-09-2012 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Couplé avec 4433 - Ultime raison – Mercadier - 35321-r |
Texte du contenu : | Partenza
Paroles : Saint-Gilles - Musique : Édouard Mercier - Éditeur : Émile Mercadier - Paris (1908) Quand vient le soir, les Napolitaines Mettent des fleurs parmi leurs cheveux Leurs jolis yeux endorment les peines Et les soucis de leurs amoureux La nuit palpite encor Sous les étoiles d’or Le chant des matelots Monte au loin sur les flots Napoli, souviens-toi De mon premier émoi Partenza C’est languir Partenza C’est souffrir Celle que j’aime était la plus belle Des filles de Santa Lucia On la donnait pour la plus cruelle Aussi mon cœur l’aime pour cela Tu dois te rappeler De mon premier baiser Son souvenir amer S’alanguit dans la mer Écoute au vent du soir Pleurer mon désespoir Partenza C’est aimer Partenza C’est pleurer Adieu, la barque a hissé ses voiles Je vais partir, ô mes chères amours Par un ciel noir toujours sans étoiles Et sans soleil pour charmer mes jours Si dans la triste nuit Le ciel est l’infini La lune est un flambeau Éclairant mon tombeau Au loin, le flot moqueur Roule mon pauvre cœur Partenza C’est finir Partenza C’est mourir |
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