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Titre : | Les femmes |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Grenet-Dancourt, Ernest |
Interprète(s) : | Coquelin, Ernest (Coquelin Cadet) |
Genre : | Monologue comique |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 17 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Zonophone international Company |
Numéro de catalogue : | 11896 |
Date de l'enregistrement : | 1903-jan.-fev |
Instruments : | Déclamation, diction, monologue |
État : | faible |
Vitesse (tours/minute) : | 76,1 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,8ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4,5kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 19-03-2011 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Zonophone orange |
Texte du contenu : | Les femmes
Les femmes ont tous les défauts, Elles sont perfides, coquettes, Ne disant rien qui ne soit faux Même celles qui sont muettes ! La meilleure enfin ne vaut pas, Vous-même l'avouerez, mesdames, Le pire de nous ici-bas ! N’importe, — c’est gentil les femmes ! Toutes fières de leurs appas, De leurs grâces et de leurs charmes. Même quand elles n'en ont pas, On les voit toujours sous les armes, N'ayant au monde qu’un souci ! Jeter le trouble dans nos âmes Et nous tenir à leur merci ! N’importe, — c’est gentil les femmes ! Lorsque nous leur faisons la cour Pour le bon motif ou... pour l'autre, Elles jurent que leur amour Durera non moins que le nôtre ! Mais hélas ! leur cœur est mouvant Comme sont mouvantes les lames Qu'au large soulève le vent ! N’importe, — c’est gentil les femmes ! Elles promettent ce qu'on veut : Seront douces, tendres, soumises, Obéiront au moindre vœu... Enfin, des compagnes exquises ! Mais, bast ! au bout de quinze jours Ce ne sont plus les mêmes gammes, Et non plus les mêmes discours ! N’importe, — c’est gentil les femmes ! Dernier suprême serment Jamais chez nous, dans nos affaires Nous n' pouvions un seul moment Voir le nez de nos belles-mères ! Après l'hymen, sous notre toit, Bravant courroux, reproches, blâmes Ces belles-mères nous font la loi ! N’importe, — c’est gentil les femmes ! De leurs travers à l'infini, Je pourrais allonger la liste, Mais jamais je n'aurais fini, Inutile donc que j'insiste ! Je préfère ici m'arrêter, Et, passant des épithalames, Sur tous les tons vous répéter : N’importe, — c’est gentil les femmes ! |
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