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Titre : | Je r'fuse rien aux femmes |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Maquis, Gaston ; Desmarets, Charles ; Rimbault, Eugène |
Interprète(s) : | Polin [Pierre Paul Marsalès] |
Genre : | Café-concert : comique troupier |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Edison |
Numéro de catalogue : | 17526 |
Date de l'enregistrement : | 1905 |
Instruments : | orchestre acc. |
Couleur de la pâte : | noir moulé |
État : | Exc |
Vitesse (tours/minute) : | 160 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 2 minutes sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat |
Date du transfert : | 20-04-2012 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Coll. Musée des arts et métiers |
Texte du contenu : | Je r'fuse rien aux femmes
Création : Polin (1901 à l'Alcazar d'Été) - reprises : Baldy, Fréjol, René Raoult, Vanyll et Duval, Moraize, Charland, Tilly, Bouchevil, René Vial Paroles : Charles Desmarets, Eugène Rimbault - Musique : Gaston Maquis - Éditeur : Eugène Rimbault - Paris (1901) J' possède un très bon caractère Et les femmes en profitent toujours Tout c’ qu’elles désirent, elles me l’ font faire Ainsi Clara m' disait l’autre jour : Mets tes mains dans mes mains, Étienne J’ lui réponds : J’ veux bien, mon gros rat Et quand mes mains s’ront dans les tiennes Si ça t’amuse, tu m’ les gratt'ras {Refrain:} J’ai jamais rien r’fusé aux femmes Leurs caprices, je les satisfais Et si c’est mes mains qu’elles réclament J’ leur donne les deux, je r’fuse jamais J’ leur en donnerais trois si j’ pouvais Je r’fuse rien aux femmes Une grande dame tout à fait jolie En m’ câlinant m’ disait comme ça : Il faut nous payer d' la grande vie Et puis tout d’ suite elle ajouta : F'sons la noce sur une grande échelle Sur une échelle, que j'y réponds J’ai jamais fait comme ça, ma belle J’ veux bien essayer d’ cette façon {Refrain:} J’ai jamais rien r’fusé aux femmes J’ lui dis : J’ f’rai la noce, mon gros chou Sur une échelle si ça t’enflamme Car là ou ailleurs, moi, j’ m’en fous J’ la f’rais même sur un tas d’ cailloux Je r’fuse rien aux femmes |
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