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Titre : | Sous les gothas | ||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Cobb, George L. ; Boyer, Lucien | ||
Interprète(s) : | Dranem | ||
Genre : | Café-concert | ||
Fichier audio : | |||
Photo(s) : | |||
Support d'enregistrement : | Disque | ||
Format : | 29 cm saphir étiquette (enregistrement acoustique) | ||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | ||
Marque de fabrique, label : | Pathé | ||
Numéro de double-face : | 4357 | ||
Numéro de catalogue : | 2554 | ||
Inscriptions complémentaires : | 8-3-20 | ||
Instruments : | chant homme, orchestre acc. | ||
État : | Exc++ | ||
Vitesse (tours/minute) : | 77 | ||
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, pointe 3,0ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss | ||
Date du transfert : | 25-04-2022 | ||
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. | ||
Texte du contenu : | Sous les Gothas
Création : Dranem (1918) - reprise : Fréhel Paroles : Lucien Boyer - Musique : George L. Cobb - Éditions Salabert Quand les gothas viennent sur Paris J’vais à la cave me mettre à l’abri Je retrouve là En pyjama Un tas de gens Assis sur des pliants ! Le long du mur Dans un angle obscur J’vis dernièrement Un couple étonnant Deux bons vieux bourgeois Madame aux abois Criait à pleine voix : {Refrain :} Serre-moi contre toi Serre-toi contre moi Serre-moi bien ! bien ! bien ! Dis, mon Adrien ! C’est fou c’que j’ai peur Tâte plutôt mon cœur ! Je vais mou mourir de frayeur ! Ah ! nom de nom J'entends l'canon C’est pire que d’être au front ! Et toujours plus fort Ils redisaient encor : Serre-moi dans tes bras Serre-toi contre moi Car voilà les gothas ! Ça leur suffit et le lendemain Nos deux bourgeois avaient pris le train D’un cœur léger Ils vont loger Dans le plus beau Des hôtels de Bordeaux ! Mais le mari Durant toute la nuit Ah ! quel écueil Ne put fermer l’œil ! Madame dans l’plumard Ayant des cauchemars Criait, l’œil hagard : {Refrain :} Serre-moi contre toi Serre-toi contre moi Serre-moi bien ! bien ! bien ! Dis, mon Adrien ! C’est fou c’que j’ai peur Tâte plutôt mon cœur ! Je vais mou mourir de frayeur Ah, nom de nom J'entends l' canon C'est pire que d'être au front ! Et toujours plus fort Elle redisait encore : Serre-moi dans tes bras Serre tant qu'tu pourras Car voilà les gothas ! Neuf mois après tous ces incidents Bien qu’la dame ait plus d’soixante-quinze ans Elle donna l’jour À un amour De p’tit loupiot Qui pesait cinq kilos Les deux bons vieux Furent tellement heureux Que chaque nuit Dès qu’on fait du bruit Pour recommencer Y n’font que s’embrasser Et crient sans s’lasser : {Refrain :} Serre-moi contre toi Serre-toi contre moi Serre-moi bien ! bien ! bien ! Dis, mon Adrien ! C’est fou c’que j’ai peur Tâte plutôt mon cœur ! Je vais mou mourir de frayeur Ah, nom de nom J'entends l'canon C'est pire que d'être au front ! Et toujours plus fort Ils redisaient encore : Serre-toi dans mes bras Serre-moi dans tes bras Car voilà les gothas ! Ah, ah ! |
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