Advanced search | Simple search | Start new search | Home page |
4559 results found
1 51 101 151 201 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1451 1501 1551 1601 1651 1701 1751 1801 1851 1901 1951 2001 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2401 2451 2501 2551 2601 2651 2701 2751 2801 2851 2901 2951 3001 3051 3101 3151 3201 3251 3301 3351 3401 3451 3501 3551 3601 3651 3701 3703 3751 3801 3851 3901 3951 4001 4051 4101 4151 4201 4251 4301 4351 4401 4451 4501 4551 4559 |
Title : | Penses-tu que ça réussisse? |
Composers and/or lyricists : | Dequin, Léon ; Forgettes, Pierre |
Performers : | Morel, Max |
Content type : | Café-concert |
Audio file : | |
Recording medium : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Columbia |
Catalogue number : | 37128 |
Matrix number : | 37128-2-1 |
Recording date : | 1904 |
Condition : | Exc |
Speed (rpm) : | 160 |
Tools used for data transfer : | Archéophone, pointe 2 minutes sur Stanton |
Transfer date : | 2009-11-20 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. |
Text or lyrics : | Penses-tu que ça réussisse ?
Création : Félix Mayol (1903) - reprises = Max-Morel (1903), Charlus (1903), Lacerpète (1904) Paroles : Pierre Forgettes - musique : Léon Dequin - Éditeur : Louis Digoudé-Diodet (1902) Ci-dessous, textes des versions Mayol, Max Morel, Charlus Mayol : L'autre jour, dans la Chaussée d'Antin Je suivais un petit trottin J' m'écrie pour conquérir la belle : – Mam'zelle Arrêtez-vous donc un instant Vous perdez quéqu' chose, mon enfant Elle me répondit, peu farouche : – Ta bouche ! Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse C' 't entendu Il y a, vois-tu Quelque chose que j'ai perdu Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse Mais c' que j'ai perdu, oui-da Ce n'est pas toi qui l'as Le soir de ses noces, un mari Dit à sa femme : – Ma chérie J' veux t' faire un discours affable Aimable Mais voilà qu'au moment d' parler Il s'arrête, tout paralysé Sa femme lui dit, l' cœur en déroute : – Ben voyons, vas-y, j' t'écoute Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' tu réussisses Pour ce soir Plus d’espoir C’est l’émotion d’ me voir Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' tu réussisses Moi, je trouve que ton discours Est un p’tit peu trop court Des agents, flegmatiquement L'autre nuit, tout en bavardant Surveillaient les rues de B'lleville Tranquilles Quand, vers les deux heures du matin On crie : – Je meurs ! À l'assassin ! Les agents répondent en cadence : – Silence ! Penses-tu, penses-tu, penses-tu qu' ça réussisse Si c’est vrai Qu' t'étais tué Tu pourrais pas crier Penses-tu, penses-tu, penses-tu qu' ça réussisse Y a longtemps qu'on n' marche plus On a les pieds poilus ------------------------- Max-Morel : Dans la vie, on rencontre partout Des gens qui veulent vous monter l' coup L'autre jour, une femme très ficelle Adèle Me dit : – Prête-moi donc deux cents francs Pour ach'ter une paire de gants Je lui dis : – Tu me crois, poupoule Bien moule ! Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse Pour deux francs Au "Printemps" Y a des gants épatants Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse Tu voudrais des gants en peau Moi, j' te fournis… la peau Un vieux marcheur, chaussée d'Antin L'autr' jour, suivait un p'tit trottin Il dit, pour conquérir la belle : – Mam'zelle Arrêtez-vous donc un instant Vous perdez quéqu' chose, mon enfant Mais elle répondit, pas farouche : – Ta bouche ! Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse Entends-tu Y a, vois-tu Quéque chose que j'ai perdu Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse Mais c' que j'ai perdu, oui-da Ça n'est pas toi qui l'as Deux braves agents, tranquillement L'autre nuit, tout en bavardant Surveillaient les rues de Bell'ville Tranquilles Quand, vers les deux heures du matin On crie : – Je meurs ! À l'assassin ! Les agents répondent en cadence : – Silence ! Penses-tu, penses-tu, penses-tu que ça réussisse Si c’est vrai Qu' t"étais tué Tu pourrais pas crier Penses-tu, penses-tu, penses-tu que ça réussisse D'abord, t'as pas l' droit d' crier Il est minuit passé ------------------------- Charlus : Dans la vie, on rencontre partout Des gens qui veulent vous monter l' coup L'autre jour, une femme très ficelle Adèle Me dit : – Prête-moi donc deux cents francs Il faut qu' j'achète une paire de gants Je lui dis : – Tu me crois, poupoule Bien moule ! Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse Pour deux francs Au "Printemps" Y a des gants épatants Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse Tu veux des gants, mon coco Moi, j' te fournis… la peau Le soir de ses noces, un mari Dit à sa femme : – J' veux aujourd'hui T' faire un discours inoubliable Aimable Mais voilà qu'au moment de... parler Il s'arrête, tout paralysé Sa femme lui dit, l' cœur en déroute : – J' t'écoute Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse Pour ce soir Plus d’espoir C’est l’émotion d’ me voir Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse Ton ami Pol est, ma foi Bien plus bavard que toi Y a quelque temps, chaussée d'Antin Je suivais un petit trottin Je dis, pour conquérir la belle : – Mam'zelle Arrêtez-vous donc un instant Vous perdez quéqu' chose, mon enfant Elle me répondit, pas farouche : – Ta bouche ! Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse Entendu Y a, vois-tu Quéque chose que j'ai perdu Pens's-tu, pens's-tu, pens's-tu qu' ça réussisse Mais c' que j'ai perdu, mon rat Ce n'est pas toi qui l'as |
Advanced search | Simple search | Start new search | Home page |