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Title : | Après la rupture |
Composers and/or lyricists : | Lemercier, Eugène |
Performers : | Mercadier, Émile |
Content type : | Café-concert |
Audio file : | |
Recording medium : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Pathé |
Catalogue number : | 1605 |
Matrix number : | 26835P |
Instruments : | piano acc. |
Color of the material : | noir moulé |
Condition : | abon |
Speed (rpm) : | 160 |
Tools used for data transfer : | Archéophone |
Transfer date : | 2005-03-12 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. |
Text or lyrics : | Après la rupture
Création : Mercadier (1896) - reprises : Mlle Marsa, Brévil, Maréchal, drathès, Fred Gouin Paroles et musique : Eugène Lemercier - Éditeur : Puigellier te Bassereau Mercadier : Hé quoi, Ninon, tu viens à ma rencontre ? Tu veux parler à ton ancien amant Et ton minois très décidé se montre Illuminé d'un sourire charmant Un an déjà depuis notre rupture S'est écoulé. Nous n'en sommes pas morts Mais, soyons francs, cette étrange aventure Nous a laissé le cœur plein de remords {Refrain :} Pourquoi briser deux cœurs à la légère Si tôt ou tard on doit le regretter ? {X2 :} J'ai conservé cette illusion chère Que nous n'aurions jamais dû nous quitter Toujours jolie et toujours captivante Tu viens à moi, je me sens défaillir Tu m'apparais comme une fleur vivante Et mon amour m'invite à te cueillir Suivant tes pas, je te prends par la taille En ton logis bientôt je suis rendu Là, dans tes bras, sans la moindre bataille J'ai retrouvé mon paradis perdu Pourquoi briser deux cœurs à la légère Si tôt ou tard on doit le regretter ? {x2 :} Aimons-nous bien, aimons-nous donc, ma chère [Brévil : J'ai conservé cette illusion chère] Car nous n'aurions jamais dû nous quitter [Brévil : Que nous n'aurions jamais dû nous quitter] |
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