Advanced search | Simple search | Start new search | Home page |
4559 results found
1 51 101 151 201 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1451 1501 1551 1601 1651 1701 1751 1801 1851 1901 1951 2001 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2401 2451 2456 2501 2551 2601 2651 2701 2751 2801 2851 2901 2951 3001 3051 3101 3151 3201 3251 3301 3351 3401 3451 3501 3551 3601 3651 3701 3751 3801 3851 3901 3951 4001 4051 4101 4151 4201 4251 4301 4351 4401 4451 4501 4551 4559 |
Title : | Le pantalon, monologue |
Composers and/or lyricists : | Garnier, Léon |
Performers : | Gabin [Ferdinand Joseph Moncorgé] |
Content type : | Monologue comique |
Audio file : | |
Recording medium : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Edison |
Catalogue number : | 17212 |
Recording date : | 1904 |
Instruments : | Déclamation, diction, monologue |
Condition : | abon |
Speed (rpm) : | 160 |
Tools used for data transfer : | Archéophone, pointe 2 minutes sur Stanton |
Transfer date : | 2009-11-22 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. Contenu similaire à celui de "Histoire d'un pantalon, chansonnette comique sans grivoiserie" |
Text or lyrics : | Le pantalon
Création : Delpierre (au Concert Parisien vers 1880) - Paroles : Garnier - Éditeur : Au Métronome, Émile Benoit Gabin : J' rencontre l'autre jour un d' mes amis d'enfance Qui m' dit : J' me marie d'main avec Clémence Ma p'tite, tu sais bien, tu s'ras garçon d'honneur - J' veux bien, qu' j' y réponds, je cours chez mon tailleur J'achète sans l'essayer un beau pantalon noir Et n' rentre à la maison qu'à dix heures du soir J'essaie mon pantalon mais, mille millions d' guêtres ! J' vois qu'il est trop long de quinze centimètres Donc je dis à ma femme : Veux-tu, mon p'tit trognon Couper quinze centimètres au bas d' mon pantalon Tu s'ras bien gentille. Mais madame mon épouse Flairant une aventure, se met d'humeur jalouse Me traite de libertin, de coureur de boudoir Et m' dit : J' vais m' coucher, du flan ! zut ! bonsoir ! - Charmant, qu' je m' dis, ayez donc d' la famille Par bonheur, je suis père, je vais trouver ma fille Mais ma fille, comme sa mère, m'envoya prom'ner Et chacune dans leurs chambres allèrent se coucher Alors, voyant c'la, j' pensais : Saperlotte ! J' vais être obligé d' raccourcir moi-même ma culotte Et je saisis les ciseaux viv'ment Je coupe quinze centimètres et me couche content Mais pendant la nuit, ma femme, regrettant sa colère Se lève sans m'éveiller, allume la lumière Saisit mon pantalon et, sans le mesurer En coupe quinze centimètres et retourne se coucher Ma fille, s'éveillant au bruit fait par ma femme Se lève en murmurant : Oh ! j' n'ai vraiment pas d'âme Elle prend donc les ciseaux et mon pauvre pantalon Pour la deuxième fois subit l'opération Hélas ! voilà pourquoi je trouvai le lend'main Au lieu d'un pantalon un cal'çon d' bain Eh bien, j' suis allé quand même à la noce, nom d'une botte ! Mais l' soir, en rentrant, oh la la la la ! j'avais une belle culotte - - - Lejal : Je rencontre l'autre jour un d' mes amis d'enfance Qui m' dit : J' me marie d'main avec Clémence La p'tite, tu sais bien, tu s'ras garçon d'honneur J' lui réponds : Je l' veux bien. Je cours chez mon tailleur J'achète sans l'essayer un beau pantalon noir Et ne rentre chez moi qu'à dix heures du soir J'essaie mon pantalon mais, mille millions d' guêtres ! Je vois qu'il est trop long de quinze centimètres Je dis donc à ma femme : Veux-tu, mon p'tit trognon Couper quinze centimètres du bas d' mon pantalon Tu s'ras bien gentille. Mais madame mon épouse Flairant une aventure, se met d'humeur jalouse Me traite de libertin, de coureur de boudoir Et me dit : J' vais m' coucher, du flan ! zut ! bonsoir ! Je pensais : Sapristi, c'est pour d'main, comment faire Pour aller à la noce ? Ah ! j'y suis, ma belle mère ! Je lui dis douc'ment, en lui prenant l' menton : Coupez quinze centimètres du bas d' mon pantalon Mais elle me répond : Allez-vous-en bien vite Vous m'avez hier encor traitée de vieille guérite Du reste, j'ai sommeil, à demain, mon garçon C'la vous apprendra à m'app'ler vieille guenon ! Eh, c'est charmant, me dis-je, ayez donc d' la famille Par bonheur je suis père, je vais trouver ma fille Mais ma fille, comme sa mère, m'envoya prom'ner Et chacune dans leur chambre allèrent se coucher Alors, voyant cela, je pensais : Saperlotte ! Je vais être obligé d' raccourcir ma culotte Moi-même, je saisis les ciseaux et viv'ment Je coupe quinze centimètres et me couche content Pendant la nuit, ma femme, regrettant sa colère Se lève sans m'éveiller, allume la lumière Saisit mon pantalon et, sans le mesurer En coupe quinze centimètres et retourne se coucher Ma belle-mère, s'éveillant au bruit fait par ma femme Se lève en murmurant : Je n'ai vraiment pas d'âme Elle prend donc les ciseaux et mon pauvre pantalon Pour la troisième fois subit l'opération Ma fille en fit autant au l'ver d' l'aurore De quinze centimètres le raccourcit encore Hélas ! voilà pourquoi je trouvai le lend'main Au lieu d'une culotte un simple cal'çon d' bain Mais j' suis allé quand même à la noce, saperlotte ! Seul'ment, l' soir, en rentrant, j'avais une belle culotte ! |
Advanced search | Simple search | Start new search | Home page |