Advanced search | Simple search | Start new search | Home page |
4559 results found
1 51 101 151 187 201 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1451 1501 1551 1601 1651 1701 1751 1801 1851 1901 1951 2001 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2401 2451 2501 2551 2601 2651 2701 2751 2801 2851 2901 2951 3001 3051 3101 3151 3201 3251 3301 3351 3401 3451 3501 3551 3601 3651 3701 3751 3801 3851 3901 3951 4001 4051 4101 4151 4201 4251 4301 4351 4401 4451 4501 4551 4559 |
Title : | Adoré des demoiselles |
Composers and/or lyricists : | Christiné, Henri ; Rimbault, Eugène |
Performers : | Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s) |
Content type : | Café-concert |
Audio file : | |
Recording medium : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Phénix |
Catalogue number : | 620 (inscr sur boîte) |
Color of the material : | marron |
Condition : | abon |
Speed (rpm) : | 136 |
Tools used for data transfer : | Archéophone |
Transfer date : | 2002-12-28 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. Le nom de la marque n'est pas explicite, mais ce cylindre a été trouvé avec un phono de marque Phénix. Numéro de catalogue écrit au crayon sous la boîte |
Text or lyrics : | Création : Polin (vers 1904-1905 à la Scala) - reprises : Vilbert, Vanyll, René Raoult, Duval, Bouchevil, René Vial, Charland, Tilly, Leconte, Croidel, Fréjol, Urban
Paroles : Eugène Rimbault - Musique : Henri Christiné - Éditions du Tourlourou Fréjol : Chez le lieut'nant, j’ suis ordonnance Et comme chaque soir, il y a chez lui Des d'mi-mondaines pleines d’élégance Elles m’ font de l’œil à moi aussi De toutes faut que j’ fasse les délices J' les abreuve de mon amitié Et j’ fais plus souvent l’exercice Dedans leur log'ment qu’au quartier Je suis adoré d’ ces d'moiselles Qui veulent de moi continuell'ment J'en ai tous les jours une nouvelle Et comme ça j' fais mon p’tit sultan Y a pas ! Elles me lâchent pas d’un cran Ces sacrées p’tites fumelles ! La plus jeune, mam’zelle Octavie Me dit l’autre jour en m’embrassant : Chéri ! j’ t’aim'rai toute ma vie Mais faut m’ prendre par les sentiments J’y réponds : Si ça peut vous plaire J' vous prendrai par là mais avant J’ m’en vais vous prendre par le derrière Ça s'ra toujours plus amusant ! Je suis adoré d’ ces d'moiselles Qui veulent de moi continuell'ment Elles m’ font voir leurs jupes de dentelle Et leurs petits pantalons blancs. Elles m’ font voir aussi c’ qu’y a d’dans Ces sacrés p’tites fumelles ! Oh ! mon beau Philémon, j’ t’adore M’ disait la grosse Félicité Et sur mon cœur où je t’implore Au ciel tu vas être transporté Je lui réponds : Ça, c’est un beurre ! J’ veux bien être transporté au ciel Mais j’ veux être de r’tour à dix heures Afin de n’ pas manquer l’appel Je suis adoré d’ ces d'moiselles Qui veulent de moi continuell'ment Elles m' disent quand je souffle la chandelle : Ah ! mon Dieu, j’ meurs, mon cher amant C’est rigolo, ça meurt tout l’ temps Ces sacrés p’tites fumelles ! Enfin la p’tite Louise de Pomponne En m’ câlinant l’autre jour me dit : Tu sais, je suis une vraie baronne J' descends des croisés, mon chéri Je lui réponds sans plus d' manières : Vrai, vous descendez des croisées Ben, moi pour ne pas m’ foutre par terre J’aime mieux descendre par l’escalier Je suis adoré d’ ces d'moiselles Qui veulent de moi continuell'ment Et pour que j’ leur dise qu’elles sont belles Elles ne m’ laissent pas dormir un moment Elles vont m’ faire crever certainement Ces sacrés p’tites fumelles ! - - - anonyme : Chez l' lieutenant, je suis ordonnance Et comme chaque soir, il y a chez lui Des demi-mondaines pleines d’élégance Elles me font de l’œil à moi aussi De toutes faut que j’ fasse les délices Je les abreuve de mon amitié Et j’ fais plus souvent l’exercice Dedans leur logement qu’au quartier Je suis adoré d’ ces d'moiselles Qui veulent de moi continuell'ment J’en ai chaque soir une nouvelle Et comme ça je fais mon p’tit sultan Y a pas ! Elles me lâchent pas d’un cran Ces sacrées petites fumelles ! La plus jeune, mam’zelle Octavie M’ disait comme ça en m’embrassant : Chéri ! j' t’aimerai toute ma vie Mais faut m’ prendre par le sentiment J’y réponds : Si ça peut vous plaire Je vous prendrai par là mais avant J’aime mieux vous prendre par le derrière Ça sera toujours plus amusant ! Je suis adoré d’ ces d'moiselles Qui veulent de moi continuell'ment Elles m’ font voir leurs jupes de dentelle Et leurs petits pantalons blancs. Elles me font voir aussi c’ qu’y a d’dans Ces sacrés petites fumelles ! Enfin la p’tite Louise de Pomponne En me câlinant l’autre soir me dit : Tu sais qu' je suis une vraie baronne J' descends des croisés, mon chéri Je lui réponds sans plus d' manières : Vrai, vous descendez des croisées Eh bien, moi pour ne pas me foutre par terre J’aime mieux descendre par l’escalier Je suis adoré d’ ces d'moiselles Qui veulent de moi continuell'ment Et pour qu' j’ leur dise qu’elles sont belles Elles m’ laissent pas dormir tranquillement Mais c' qu’elles me font passer d’ bons moments ! Oh oui ! ces sacrés p’tites fumelles ! |
Advanced search | Simple search | Start new search | Home page |