Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
4559 résultats trouvés
1 51 101 151 201 251 301 351 401 451 501 551 601 651 701 751 801 851 901 951 1001 1051 1101 1151 1201 1251 1301 1351 1401 1451 1501 1551 1601 1617 1651 1701 1751 1801 1851 1901 1951 2001 2051 2101 2151 2201 2251 2301 2351 2401 2451 2501 2551 2601 2651 2701 2751 2801 2851 2901 2951 3001 3051 3101 3151 3201 3251 3301 3351 3401 3451 3501 3551 3601 3651 3701 3751 3801 3851 3901 3951 4001 4051 4101 4151 4201 4251 4301 4351 4401 4451 4501 4551 4559 |
Titre : | La charcutière |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Barde, André ; Varney, Jean |
Interprète(s) : | Duparc |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de catalogue : | 2145 |
Instruments : | diction |
Couleur de la pâte : | marron |
État : | Exc, moisi |
Vitesse (tours/minute) : | 130 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone |
Date du transfert : | 08-06-2003 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. Duparc déclame ici en anonyme. https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb387552594 |
Texte du contenu : | La charcutière
Création : André Barde (1898 au Tréteau de Tabarin) - Paroles : Jean Varney - Musique : André Barde - Éditeur : Ollendorff (1899) La charcutière trône et préside et sourit Et sur le marbre blanc il s'entasse autour d'elle Tout ce qui gave et bourre et tout ce qui nourrit Galantine, boudin, saucisson, mortadelle L'andouille en chapelet, la gelée en remous Les gros carrés de viande et leur rougeur de brique Et les tas de saindoux, pâles, fondants et mous Qui bavent lentement comme un vieillard lubrique La charcutière trône et préside et sourit Mais son sourire est triste et sa majesté raille Et sous son cuir, sous sa panne qu'un bistouri Peut fendre sans y toucher la chair, son cœur tressaille C'est qu'un brin de soleil, svelte comme un lutin Ah ! beau comme un archange, entrant par la vitrine Amuse sa pensée en un rêve mutin Qui lui fait moutonner les flots de sa poitrine Ah ! ce doit être bon, l'amour Les promenades sous les branches Deux à deux vers la fin du jour Les yeux au ciel, les mains aux hanches Les fritures au bord de l'eau Qu'on sale avec de la poussière Et l'aigre vin de piccolo Et les retours en tapissière Ah ! ce doit être bon, l'amour Les fuites avec un Tzigane Un grand ténor, un troubadour Tous les hommes au bel organe Oh ! loin, bien loin, à Bougival À Nogent, loin des coteries Dans un pays, pays vert et natal Loin, bien loin des charcuteries ! Mais deux enfants bouffis, rougeauds, joufflus Arrivent en pleurant, voix hargneuse et jalouse Disant à celle-là qui ne s'en souvient plus : Fais ta tâche de mère et tes devoirs d'épouse |
Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |