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Titre : | Les blondes |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Fragson, Harry ; Stanislas, Adolf ; Delormel, Lucien |
Interprète(s) : | Fragson, Harry |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Edison |
Numéro de catalogue : | 17592 |
Date de l'enregistrement : | 1905-1906 |
Couleur de la pâte : | noir moulé |
Vitesse (tours/minute) : | 160 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe Edison elliptique sur Ortofon, + léger |
Date du transfert : | 13-11-2002 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | Les blondes
Création - Fragson (1897 à Parisiana) - Reprises : Maréchal, Maurice Farkoa, Henri Léoni, Weber, Paul Gesky Paroles : Lucien Delormel - Musique : Harry Fragson, Adolf Stanislas - Éditeur : Répertoire Libre Fragson sur Odéon : On dit qu'il est à Paris Bien des femmes adorables Que les rousses sont aimables Que les brunes sont sans prix On dit que leurs lèvres roses Disent d'agréables choses Dans un discret entretien Mais cela ne me fait rien : {Refrain:} Ce sont les blondes Qui m'ont charmé Minces ou rondes J'en fus aimé Femmes jolies À la folie Je chanterai les blondes, mes amours Oui, ce sont les blondes Qui m'ont charmé Âmes profondes Au cœur léger Toujours, toujours mes amours S'en iront vers les blondes Elle avait des yeux charmants La gorge fine et bien faite La première blondinette Qui dégourdit mes seize ans La deuxième et la troisième Avaient les cheveux de même Mais j'ai cherché bien des soirs Pourquoi leurs cils étaient noirs {au Refrain} Certes, je ne voudrais pas Ici médire des brunes J'en ai connu quelques-unes Aux voluptueux appas Je leur ai chanté des stances Et fredonné des romances Mais je n'ai, faute de son Jamais fini ma chanson {au Refrain} ------------------ Maréchal : On dit qu'il est à Paris Bien des femmes adorables Que les rousses sont aimables Que les brunes sont sans prix On dit que leurs lèvres roses Disent d'agréables choses Dans un discret entretien Mais cela ne me fait rien : {Refrain:} Ce sont les blondes Qui m'ont charmé Minces ou rondes J'en fus aimé Aussi toujours La nuit, le jour Je veux chanter les blondes, mes amours Oui, ce sont les blondes Qui m'ont charmé Âmes profondes Ou cœurs légers Toujours, toujours mes amours S'en iront vers les blondes Elle avait des yeux charmants La gorge fine et bien faite La première blondinette Qui dégourdit mes seize ans La deuxième, la troisième Avaient les cheveux de même Mais j'ai cherché bien des soirs Pourquoi leurs cils étaient noirs {au Refrain} |
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