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Title : | Folichonnade | |||||||
Composers and/or lyricists : | Christiné, Henri ; Favart, Edgard | |||||||
Performers : | Pellat | |||||||
Audio file : | ||||||||
Images : | ||||||||
Recording medium : | Cylindre | |||||||
Format : | Standard (enregistrement acoustique) | |||||||
Recording location : | Paris, France | |||||||
Manufacturer, label : | Columbia | |||||||
Catalogue number : | 27515 | |||||||
Instruments : | chant homme , piano acc. | |||||||
Condition : | Exc, nasille | |||||||
Speed (rpm) : | 120 | |||||||
Tools used for data transfer : | Archéophone, pointe Edison elliptique sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat | |||||||
Transfer date : | 2021-03-22 | |||||||
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. | |||||||
Text or lyrics : | Folichonnade
Création : Mayol (1902 à la Scala) - Paroles : Edgard Favart - Musique : Henri Christiné - Éditeur : Aux Répertoires Réunis Mayol : Près du bois de Boulogne lorsque je l'aperçus Je n'osai lui parler quand, prenant le dessus Je m'approchai pourtant, chapeau bas, la voix tendre Mad’moiselle, lui dis-je ; elle n'eut pas l'air d'entendre Elle allongea le pas, moi j'allongeai le mien Elle devait se dire : Sapristi, comme ça l’tient Puis, je recommençai lorsque la toute belle M' dit : J'aperçois mon oncle. Ah ! laissez-moi, dit-elle Et je vis un monsieur très chic et décoré L'embrasser sur le front en l'appelant bébé {Refrain :} Comme l'on cueille une fleurette Ce fut à peine une amourette Un seul jour je fus son amant Mais ce souvenir est charmant Petits pieds, petites menottes Elle avait de blanches quenottes Qui croquèrent en un seul jour Toute une éternité d'amour Ce fut exquis, divin, mais, dit-elle en partant Ah ! j'ai perdu ma bourse, me voilà sans argent Je fus embarrassé, craignant lui faire injure Je lui donnai cent francs pour prendre une voiture Vous m'écrirez, dit-elle : initiales A. V. F. V'nez dimanche à l'église, vous m’trouv’rez dans la nef J'y suis allé vingt fois, jamais je ne l’ai vue Quand hier vers minuit, au tournant d'une rue Je l'aperçus causant à des filles de trottoir Elle leur disait : Crois-tu ! ma chère, je n'ai rien fait ce soir {Refrain :} Comme se fane une fleurette Ainsi finit mon amourette Un seul jour je fus son amant Mais cela m’a coûté cent francs Car ça n’était qu’une cocotte Elle avait de blanches quenottes Qui croquèrent en fait d'amour Mes économies de trente jours ---------------- Pellat : Près du bois de Boulogne lorsque je l'aperçus Je n'osai lui parler quand, prenant le dessus Je m'approchai pourtant, chapeau bas, la voix tendre Mademoiselle, lui dis-je ; elle n'eut pas l'air d'entendre Elle allongeait le pas, moi j'allongeais le mien Elle devait se dire : 'Pristi, comme ça le tient Puis, je recommençai lorsque la toute belle M' dit : J'aperçois mon oncle. Oh ! laissez-moi, dit-elle Et je vis un monsieur très chic et décoré L'embrasser sur le front en l'appelant bébé {Refrain :} Comme l'on cueille une fleurette Ce fut à peine une amourette Un seul jour je fus son amant Mais ce souvenir est charmant Petits pieds, petites menottes Elle avait de blanches quenottes Qui croquèrent en un seul jour Toute une éternité d'amour Ce fut exquis, divin, mais, dit-elle en partant Ah ! j'ai perdu ma bourse, me voilà sans argent Je fus embarrassé, craignant lui faire injure Je lui donnai cent francs pour prendre une voiture Vous m'écrirez, dit-elle : initiales A. V. F. V'nez dimanche à l'église, vous m’trouv’rez dans la nef J'y suis allé vingt fois, jamais je ne l’ai vue Quand hier vers minuit, au tournant d'une rue Je l'aperçus causant à des filles de trottoir Elle leur disait : Crois-tu ! j' n'ai pas de veine ce soir {Refrain :} Comme se fane une fleurette Ainsi finit mon amourette Un seul jour je fus son amant Mais cela m’a coûté cent francs Petits pieds, petites menottes Elle avait de blanches quenottes Qui croquèrent en fait d'amour Mes économies de trente jours |
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