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Titre : | Allocution de Monsieur Lockroy aux membres de la mission Marchand |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Bonnaud, Dominique ; Mévisto, Jules |
Interprète(s) : | Enregistrement amateur |
Genre : | Chanson de circonstance |
Fichier audio : | |
Support d'enregistrement : | cylindre |
Format : | Standard (enregistrement acoustique) |
Date de l'enregistrement : | 1897-1898 |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 136 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe Pathé sur Ortofon, Elberg MD12 : courbe flat |
Date du transfert : | 20-02-2016 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. D'un ensemble de cylindres provenant du cercle proche du comédien Mounet-Sully. Crise de Fachoda. Avant l'Entente cordiale, Angleterre, commandant Marchand. Ce texte qui moque Edouard Lockroy (1818-1913), ministre de la Marine, rend hommage au commandant Jean-Baptiste Marchand. Texte cité dans Berny Sèbe , Heroic Imperialists in Africa: The Promotion of British and French Colonial Heroes, 1870-1939, Oxford University Press, 2015, 352 p., p. 125. |
Texte du contenu : | Allocution de Monsieur Lockroy aux membres de la mission Marchand
Dominique Bonnaud, Jules Mévisto Chanteur annonyme Vaillants soldats qui revenez d'Afrique Après trois ans de labeurs inouïs Sachez-le bien c'est d'un coeur héroïque Par la pensée que je vous ai suivis Ah ! Que de fois les deux pieds sous la table En apprenant qu'au milieu du désert Vous n'aviez rien à bouffer que du sable J'ai bien souffert, messieurs, j'ai bien souffert Quand sous l'azur d'un ciel inexorable Par les rayons du soleil aveuglés Vous avanciez d'un pas infatigable Moi je sentais la sueur me perler Songeant alors qu'vous marchiez sans ombrelle Par des chaleurs de soixante degrés Trois fois par jour je changeais de flanelle J'ai transpiré, messieurs, j'ai transpiré Quand les moustiques vous piquaient l'épiderme Je me frappais d'un mouvement nerveux Quand vous donniez la chasse aux pachydermes Je n'portais plus par mes mots Lefaucheux (?) [---> par mes maux ??? le faucheux ????] De feu Nemrod alors me sentant l'âme J'aurais voulu tuer des éléphants Mais je n'avais en fait d'hippopotame Que c'pauvre Dupuy à m'fourrer sous la dent Enfin voici la fin de vos misères Un peuple entier vous salue par ma voix J'apporte aussi les voeux du ministère Et ses bravos pour vos brûlants exploits Pour terminer dignement l'aventure Devant Paris de votre pouvoir assoiffé À vos côtés dans la même voiture J'ai triomphé, messieurs, j'ai triomphé |
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