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Title : | C'est gentil d'être venu |
Composers and/or lyricists : | Delormel, Lucien ; Belhiatus |
Performers : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] |
Content type : | Café-concert |
Audio file : | |
Images : | |
Recording medium : | Disque |
Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Pathé |
Catalogue number : | 1277 |
Matrix number : | 24656-R |
Additional informations written on medium : | 2-5 |
Recording date : | 1907 |
Instruments : | chant homme, orchestre acc. |
Condition : | Exc++ |
Speed (rpm) : | 91 |
Tools used for data transfer : | Stanton 150, pointe 1,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss |
Transfer date : | 2022-03-25 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. |
Text or lyrics : | C'est gentil d'être venu
Partition : L'autre jour, à deux heures du matin À ma sonnette on carillonne C’était mon cousin d’Chambertin Sa femme, ses trois gosses et sa bonne ! Il m’dit : Tu vois, j’t’avais promis De venir un jour te surprendre Mais jusqu’à présent, j’avais r’mis {Parlé, se frottant les yeux :} — T’es content, hein, dis, Alexandre ? — Mais comment donc !… {Refrain, x2 :} D’puis l’temps qu’on n’s’était vu C’est gentil d’être venu ! Chaque fois qu’vous pourrez v’nir Ça nous f’ra bien plaisir Alors on défait les lits On installe des matelas par terre Sur un tout neuf on couche les p’tits Sur un vieux le père et la mère Avec ma femme la bonne se met Et moi sur le tapis j’m’arrange — Bonne nuit, mon vieux ! que l’cousin m’fait Mais, dis donc, p’t-être qu’ça t’dérange ? {Parlé :} — Mais pas du tout, voyons… (Se frottant les reins) {au Refrain, x2} L’matelas des gosses à l’inspection L’matin était comme une lessive L’cousin m’dit : N’fais pas attention Tous les jours chez nous ça arrive Puisque te voilà d’bout, qu’i’ m’dit Mon vieux, nous avons l’habitude D’prendre notre café au lait dans l’lit Ça va vous être une servitude… {Parlé :} — Mais pas le moins du monde, mon cousin… (Il moud le café.) {au Refrain, x2} Au bout d’huit jours un beau matin Ayant plein l’dos d’toute la famille Pour qu’ils s’en r’tournent à Chambertin J’dis au cousin : Mon cher Camille Ta belle-mère qui garde la maison Doit bien s’ennuyer et va s’plaindre Il m’dit : Ma foi, oui, t’as raison J’vais lui écrire de v’nir nous r’joindre {Parlé :} — Ah ! ben il n’manquait plus que ça, la belle-mère ! mais comment donc cette pauvre vieille ! (Il rit à contrecœur.) {au Refrain, x2} Les gosses criant dans l’escalier Et croyant qu’j’sous-louait des pièces On m’ficha congé par huissier Alors le cousin fit ses caisses En partant il me dit : Mon vieux Faut qu’tu déménages c’est une veine Prends plus grand qu’ça pour qu’on soit mieux Quand nous r’viendrons l’année prochaine {Parlé — Entendu, au revoir… (Montrant le poing.) {Refrain :} D’puis l’temps qu’on n’s’était vu C’est gentil d’être venu ! Chaque fois qu’vous pourrez v’nir Ça nous f’ra bien plaisir D’puis l’temps qu’on n’s’était vu C’est gentil d’être venu ! Mais quand ils vont r’venir Ah ! c’que j’vais les sortir |
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