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Titre : | Fanfan la Tulipe |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Debraux, Paul Émile |
Interprète(s) : | de Ruy, Rachel |
Genre : | Chanson traditionnelle |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 27 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | APGA |
Numéro de catalogue : | 1106 |
Date de l'enregistrement : | 1906-07 |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 83,5 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe Decca, passe-bas 4kHz, Cedar X declick |
Date du transfert : | 03-11-2013 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | Fanfan la Tulipe
Création : Émile Debraux (1819) - reprises : Régiane, Maréchal, Rachel de Ruy, Vorelli, Nory, Marcelle Bordas, La Houppa, ... Paroles : Paul Émile Debraux sur un air populaire Puisque l' mari d' notre mère [anonyme : Comme le mari d' notre mère] Doit toujours s'app'ler papa Je vous dirai que mon père Un certain jour me happa Puis me m'nant jusqu'au bas d' la rampe M' dit ces mots qui m' mirent tout sens d'sus d'sous "J' te dirai, ma foi, Qui gnia plus pour toi Rien chez nous V'la cinq sous Et décampe !" {Refrain:} En avant Fanfan la Tulipe Oui, mill' nom d'une pipe En avant ! Puisqu'il est d' fait qu'un jeune homme Quand il a cinq sous vaillant Peut aller d' Paris à Rome Je partis en sautillant L' premier jour je trottais comme un ange Mais l' lendemain J' mourais quasi d' faim Un r'cruteur passa Qui me proposa Pas d'orgueil, J' m'en bats l’œil Faut que j' mange ! {au Refrain} Quand j'entendis la mitraille Comme je regrettai mes foyers ! Mais quand j' vis à la bataille Marcher nos vieux grenadiers Un instant, nous sommes toujours ensemble "Ventrebleu ! je m' dis alors tout bas Allons, mon enfant Mon petit Fanfan Vite au pas Qu'on n' dise pas Que tu trembles ! " {au Refrain} Vingt ans soldat, vaille que vaille, Au devoir toujours soumis [anonyme : Quoiqu'au d'voir toujours soumis] Une fois hors du champ d' bataille J' n'ai jamais connu d'ennemis Des vaincus la touchante prière M' fit toujours Voler à leur secours P'têt' c' que j' ferai pour eux Les malheureux L' feront un jour À leur tour Pour ma mère ! {au Refrain} |
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