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Title : | Rire, pleurer |
Composers and/or lyricists : | Maquis, Gaston ; Gonthier, Paul |
Performers : | Mercadier, Émile |
Content type : | Café-concert |
Audio file : | |
Images : | |
Recording medium : | Disque |
Format : | 25 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Gramophone and Typewriter |
Catalogue number : | GC-2-32519 |
Matrix number : | 848-f |
Recording date : | 1902 |
Instruments : | piano acc. |
Condition : | Exc++ |
Speed (rpm) : | 74,6 |
Tools used for data transfer : | Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 4kHz, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Transfer date : | 2011-05-24 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. |
Text or lyrics : | Rire, pleurer
Création : Mercadier, Anna Thibaud (1894) - reprises : Pellat, Georgel, Marjal, Hector Pellerin Paroles : Paul Gonthier - Musique : Gaston Maquis - Éditeur : À la Chanson moderne - Paris Mercadier, Pellat : Tu m’as causé beaucoup de peines Et tu m’as trompé bien souvent Mais j’ai pardonné tes fredaines Quand on aime, on est indulgent Moi, je n’osais plus rien te dire Car, au lieu de me rassurer {x2 :} Tu te mettais bien vite à rire Lorsque tu me voyais pleurer Mais puisque, aujourd’hui, l’on te quitte Allons, reviens à l’ancien nid Nous nous aimerons mieux ensuite Lorsque ton cœur sera guéri Va, tu n’auras rien à me dire Et, crois-le, pour te rassurer {x2 :} Je te promets de ne pas rire Si, parfois, je te vois pleurer ---------------- Anonyme : Tu m’as causé beaucoup de peines Et tu m’as trompé bien souvent Mais j’ai pardonné tes fredaines Quand on aime, on est indulgent Moi, je n’osais plus rien te dire Car, au lieu de me rassurer {x2 :} Tu te mettais bien vite à rire Lorsque tu me voyais pleurer Un soir, je te surpris, parjure À notre amour, à mes serments J’eus au cœur comme une morsure Dont j’ai souffert longtemps, longtemps Je fus témoin de ton délire Et de tout ce qui se passa {x2 :} Mais, lorsque tu te mis à rire J’ai pleuré d’avoir été là Mais puisque, aujourd’hui, l’on te quitte Allons, reviens à l’ancien nid Nous nous aimerons mieux ensuite Lorsque ton cœur sera guéri Va, tu n’auras rien à me dire Et, crois-le, pour te rassurer {x2 :} Je te promets de ne pas rire Si, parfois, je te vois pleurer |
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