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272 résultats trouvés
Titre : | La p'tite pharmacienne |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Christiné, Henri ; Rimbault, Eugène |
Interprète(s) : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de double-face : | 2608 |
Numéro de catalogue : | 1564 |
Numéro de matrice : | 55334-GR+ |
Date de l'enregistrement : | 1910 |
Instruments : | chant homme, orchestre acc. |
État : | Exc++ |
Vitesse (tours/minute) : | 82 |
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, pointe 1,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 21-03-2022 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. |
Texte du contenu : | La p'tite pharmacienne
Création : Polin (1910 à la Scala) - Paroles : Eugène Rimbault - Musique : Henri Christiné - Éditeur : H. Christiné, Paris (1910) En flânant l’autre jour, je m’arrête soudain D’vant un pharmacien Car je venais à l’instant d’apercevoir Assise au comptoir Une jolie brune qui, m’voyant arrêté En train d’l’admirer Se mit à sourire d’un air engageant Montrant toutes ses dents {Refrain :} Elle était gentille à voir Assise dans son comptoir Avec son joli maintien Je la trouvais vraiment bien La p’tite femme du pharmacien Pour l’admirer de plus près Dans la boutique j’entrai Vite elle baissa les yeux Et rougissant un p’tit peu Me d’manda : Qu’est-ce que vous désirez, monsieur ? Je lui dis : Madame, j’ai le cœur qui me bat Elle m’dit : J’connais ça Un peu d’digitale à prendre et puis alors Il battra moins fort Madame, que j’ajoute, ça m’a pris d’vant chez vous J’ai r’çu comme un coup Elle fait : Diable ! C’est grave, ça va peut-être enfler Faudrait me l’montrer {Refrain :} Elle était gentille à voir Assise dans son comptoir J’lui dis : Calmez-moi viv’ment Alors elle m’donne gentiment Des pilules et des onguents Puis des sels, des solutions Des cachets et des potions Je m’dis : Vrai, si dans les mains Elle m' met tout son magasin J’pourrai à mon tour, mesdames, m’établir pharmacien N’sachant plus quoi dire, j’pris les drogues et j’partis J’dormis pas d’la nuit Je revins l’lend’main. J’lui dis : Ça n’va pas mieux Elle dit : C’est curieux Que vais-je vous donner ? J’lui réponds : Un baiser Ça va m'soulager M’sieu, y pensez-vous ? fit-elle avec éclat J’lui dis : J’pense qu’à ça {Refrain :} Elle était gentille à voir Assise dans son comptoir – Vous avez d’la chance, qu’elle m’dit Que mon mari soit parti Pour un baiser, allez-y ! J’en ai pris deux — c’est bien peu — C’était bon, j’en ai r'pris deux Et, comme elle n’me r’poussait pas Je l’ai saisie dans mes bras J’ai tiré l’rideau et puis... je n' vous dis qu'ça Tout en l’embrassant, je lui dis : Vous avez Vraiment bien trouvé Pour m’guérir le remède le plus merveilleux Ah ! comme ça va mieux ! J’en voudrais encore. Elle m’dit : Recommencez J’peux pas vous r’fuser Car j’vous avoue qu’si l’remède vous réussit Ben… à moi aussi ! {Refrain :} Elle était gentille à voir Depuis ce jour, chaque soir J’ai continué le traitement Il est rudement épatant Et j’vous l’recommande vivement Si, un jour, vous n’êtes pas bien Allez donc chez l’pharmacien Mais n’ach’tez pas ses produits Attendez qu’il soit parti Et sa femme vous guérira beaucoup mieux qu’lui |
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