Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |
164 résultats trouvés
Titre : | Le vieux voyou | |||||
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Maquis, Gaston ; Héros, Eugène ; Garnier, Léon | |||||
Interprète(s) : | Maréchal, André | |||||
Genre : | Café-concert | |||||
Fichier audio : | ||||||
Photo(s) : | ||||||
Support d'enregistrement : | Cylindre | |||||
Format : | Standard (enregistrement acoustique) | |||||
Lieu d'enregistrement : | Paris, France | |||||
Marque de fabrique, label : | Pathé | |||||
Numéro de catalogue : | 1744 | |||||
Numéro de matrice : | 6436 | |||||
Instruments : | piano acc. | |||||
Couleur de la pâte : | noir moulé | |||||
État : | faible | |||||
Vitesse (tours/minute) : | 160 | |||||
Matériel employé au transfert : | Archéophone, pointe 2 minutes sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 6kHz | |||||
Date du transfert : | 16-10-2018 | |||||
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. | |||||
Texte du contenu : | Le vieux voyou
Création : Jean Fernandès, Félicia Mallet, Perval (1898) - Reprises : Francis Dufor, Rosien Maréchal Paroles : Eugène Héros, Léon Garnier - Musique : Gaston Maquis - Éditeur : À la Chanson Moderne - Paris (1898) Quoique vieux, j’ai l’cœur jeune encore Et j’ai du cresson sur l’caillou L’pavé parisien, moi, j’l’adore J’vis dans la rue, j’suis l’vieux voyou C’est l’seul endroit ousque j’respire C’est mon domaine ; c’est mon empire Mon salon, à moi, c’est l’trottoir Mes tableaux, ce sont les boutiques J’ai tous les bancs comme dortoir Et les agents pour domestiques On dit que je n’ai pas de famille Quelle blague ! j’en ai autant que j’en veux Mes enfants à moi, ça fourmille Des fils, des filles et même des n’veux C’est dans Paris tout ce qui vibre C’est tout ce qui veut être libre Est-ce que j’n’ai pas les moineaux francs Auxquels j’donne mon pain en partage ? Mes fils sont les cabots errants Ils n’attendent pas mon héritage Quelqu’ fois une personne charitable Veut m’faire entrer dans une maison Ousqu’on a le lit et la table C’est comme qui dirait une prison Au règlement il faut s’soumettre Or moi, je n’ai jamais eu d’maître Et puis quand l’grand moment viendra Quand la camarde sera venue D’être chez les autres, ça m’embêtera J’veux crever chez moi, dans la rue ! |
Recherche avancée | Recherche tout champ | Nouvelle recherche | Page d'accueil |