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164 résultats trouvés
Titre : | Si les femmes savaient |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Maquis, Gaston ; Savoisy ; Héros, Eugène |
Interprète(s) : | Maréchal, André |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 17 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Berliners' Gramophone |
Numéro de catalogue : | 32927ii |
Numéro de matrice : | 1134g |
Date de l'enregistrement : | 1900-07-xx |
Vitesse (tours/minute) : | 76 |
Matériel employé au transfert : | Garrard 401, SME 3012, pointe 4,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe HMV, Cedar X declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 02-06-2010 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. André Maréchal chante ici en anonyme. Mention sur le disque "Répertoire Mercadier" |
Texte du contenu : | Si les femmes savaient
Création : Mercadier au Concert Parisien, Albin Aigon à l'Eden Concert - reprises : Maréchal, Darthès Paroles : Eugène Héros, Savoisy (ou Jules Jouy ?) - Musique : Gaston Maquis - Éditeur : Le Clavecin (vers 1900) Mercadier : C'est fini depuis hier soir Avec Thérèse Et nous ne devons plus nous voir, J'en suis bien aise… Mais non, car ses yeux étaient bleus, Sa taille exquise, Et quand je pense à ses cheveux, Cela me grise. {Refrain:} Si les femmes savaient, Si les femmes savaient s'y prendre, L'amour au lieu de s'envoler, Si l'on voulait toujours nous cajoler, Couverait longtemps sous la cendre. Pour l'enflammer, vous pensez bien Qu'il ne faudrait qu'un souffle, un rien. Si les femmes savaient, Si les femmes savaient s'y prendre. Elle est revenue à l'instant, Fort amoureuse, À part moi, j'étais très content, L'âme joyeuse, Pourtant j'ai voulu refuser, D'un ton farouche. De suite elle m'a d'un baiser [Maréchal : Mais elle m'a d'un baiser] Fermé la bouche ! {au Refrain} --------------------- Darthès : C'est fini depuis hier soir Avec Thérèse Et nous ne devons plus nous voir, J'en suis bien aise… Mais non, car ses yeux étaient bleus, Sa taille exquise, Et quand je pense à ses cheveux, Cela me grise. {Refrain:} Si les femmes savaient, Si les femmes savaient s'y prendre, L'amour au lieu de s'envoler, Si l'on voulait toujours nous cajoler, Couverait longtemps sous les cendres/ la cendre. Pour l'enflammer, vous pensez bien Qu'il ne faudrait qu'un souffle, un rien. Si les femmes savaient, Si les femmes savaient s'y prendre. On se disputait bien un peu, Non, j'exagère On se battait ; mais quand le feu De la colère Était passé, comme on s'aimait Avec ivresse Et comme alors on abusait De la jeunesse ! {au Refrain} |
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