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Title : | La fille de Madame Angot ; Ah ! c'est donc toi Madame Barras |
Composers and/or lyricists : | Lecocq, Charles |
Performers : | Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s) |
Content type : | Opéra-comique |
Audio file : | |
Recording medium : | Cylindre |
Format : | Lioret n°4 (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Lioret |
Recording date : | 1899-1901 |
Instruments : | a cappella |
Color of the material : | Celluloïd blanc |
Condition : | Exc |
Speed (rpm) : | 118 |
Tools used for data transfer : | Archéophone |
Transfer date : | 2006-04-10 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. Coll. Jalal Aro. |
Text or lyrics : | La fille du régiment ; Ah ! c'est donc toi Madame Barras
Création : Paola Marié et Marie Desclauzas (1872 au Théâtre des Fantaisies-Parisiennes de Bruxelles) Paroles : Clairville, Siraudin, Koning - Musique : Charles Lecocq - Éditeur : Brandus et Cie (1873) La partition : Ah ! c'est donc toi, madam' Barras, Toi qui fais tant tes embarras, T'avais déjà deux amoureux ; L'un pas très jeune et l'autre vieux, Mais comm' t'avais pas assez d'choix, Paraît maint'nant qu'y t'en faut trois ! Eh ben prends-le c'beau jouvenceau, Si t'es éprise d' son museau. Il m'appartenait, c'est mon bien, Mais en te le donnant pour rien [Mlle Poultier : Mais en te le laissant pour rien] Je te le donn' pour ce qu'y vaut, Et c'est bien là l'galant qui t' faut Prends-le pour qu'on en cause Et qu'on dise partout : C'est un' pas grand'chose C'est un' pas grand'chose C'est un' pas grand'chose Avec un rien du tout ! Mais voyez donc c't'ingénuité, Cet ange de perversité, N' trouvez-vous pas qu' par son jargon Ell' scandalis'rait un dragon. Fallait donc m'dir' fleur de péché, Qu'avec ton air effarouché, T'avais, tout en baissant les yeux, Reluqué ce bel amoureux. Pour que tu l'gardes en ton pouvoir, Je ne me s'rais pas laissé' voir ; Car, peur qu'on admir' tes appas, Il faut qu' les miens n' se montrent pas Tu comprends, je suppos' Sans qu'ça t'étonne beaucoup Que près d'la pas grand'chos' Que près d'la pas grand'chos' Que près d'la pas grand'chos' T'es un' rien du tout ! |
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