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Title : | Martha ; lorsqu'à mes yeux (m'appari) |
Composers and/or lyricists : | Flotow, Friedrich von ; Jules-Henri Vernoy de Saint-Georges |
Performers : | Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s) |
Audio file : | |
Images : | |
Recording medium : | Cylindre |
Format : | Lioret n°3 (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Lioret |
Recording date : | 1895-1900 |
Instruments : | a cappella |
Color of the material : | Celluloïd blanc |
Condition : | Exc |
Speed (rpm) : | 124 |
Tools used for data transfer : | Archéophone |
Transfer date : | 2002-02-06 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. Étiquette bleue. inscriptions sur la tranche |
Text or lyrics : | Martha ; lorsqu'à mes yeux
Paroles : Jules-Henri Vernoy de Saint-Georges - Musique : Friedrich von Flotow Texte chanté par Charles Rousselière, Maurice Vallade, Léon Beyle, Albert Alvarez : Lorsqu'à mes yeux sa chère image Vint à s'offrir pour mon malheur Ses traits charmants, son doux langage Se gravèrent jusqu'en mon cœur Plein d'espoir et d'ivresse Me souriait l'avenir Et près d'elle sans cesse Je voulais vivre et mourir Mais hélas ! mon doux rêve Comme une ombre a disparu Et l'ingrate m'enlève Mon bonheur sitôt perdu Sitôt perdu Lorsqu'à mes yeux sa chère image Vint à s'offrir pour mon malheur Ses traits charmants, son doux langage Se gravèrent dans mon cœur Martha ! Martha ! vois mes larmes Je n'existe que pour toi [Beyle : Je n’existe que par toi] Mets un terme à mes alarmes Ou reviens m'offrir ta foi Oh ! Martha, reviens près de moi Ici un deuxième texte français, (version chantée par Anonyme, Albert Vaguet, Delcroix) : À mes yeux enchantés Trésor charmant de beauté Devais-tu fuir de ce cœur Qui te dut son seul bonheur ? Un seul jour, un seul jour [Delcroix : Rien qu'un jour, un seul jour] Est-ce assez pour tant d'amour ? Dans mon pauvre cœur, hélas ! [Delcroix : Dans un triste songe, hélas !] Je crois entendre tes pas Mais en vain je t'appelle Ta voix ne répond pas Et mon cœur fidèle T'attend toujours Ô mes amours À mes yeux enchantés Trésor charmant de beauté Devais-tu fuir de ce cœur Qui te dut son seul bonheur ? Martha ! Martha ! vois mes larmes Je n'existe que pour toi Martha ! Martha ! vois mes alarmes Par pitié, reviens à moi Oh ! Martha, reviens près de moi |
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