Advanced search | Simple search | Start new search | Home page |
442 results found
Title : | Faust ; sérénade de Méphisto : vous qui faites l'endormie |
Composers and/or lyricists : | Gounod, Charles |
Performers : | Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s) |
Content type : | Opéra |
Audio file : | |
Images : | |
Recording medium : | Cylindre |
Format : | Lioret n°3 (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Lioret |
Recording date : | 1895-1900 |
Instruments : | a cappella |
Color of the material : | Celluloïd blanc |
Condition : | Exc |
Speed (rpm) : | 104 |
Tools used for data transfer : | Archéophone |
Transfer date : | 2002-02-12 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. Étiquette bleue |
Text or lyrics : | Acte IV
Scène et Sérénade MÉPHISTOPHÉLÈS, FAUST Entrent Faust et Méphistophélès, ce dernier transporte une guitare. Faust se dirige vers la maison de Marguerite, puis s'arrête MÉPHISTOPHÉLÈS Qu'attendez-vous encore ? entrons dans la maison ! FAUST Tais-toi, maudit ! J'ai peur de rapporter ici La honte et le malheur. MÉPHISTOPHÉLÈS À quoi bon la revoir, après l'avoir quittée, Notre présence ailleurs serait bien mieux fêtée ! Le sabbat nous attend ! FAUST Marguerite ! MÉPHISTOPHÉLÈS Je vois que mes avis sont vains Et que l'amour l'emporte ! Mais, pour vous faire ouvrir la porte, Vous avez grand besoin du secours de ma voix. (Faust plongé dans ses pensés, s'en va) MÉPHISTOPHÉLÈS (s'accompagnant à la guitare) Vous qui faites l'endormie, N'entendez-vous pas... O Catherine, ma mie, N'entendez-vous pas Ma voix et mes pas ? Ainsi ton galant t'appelle... Et ton coeur l'en croit. Ah ! Ah ! Ah !... N'ouvre ta porte, ma belle, Que la bague au doigt... Catherine que j'adore, Pourquoi refusez... À l'amant qui vous implore, Pourquoi refusez un si doux baiser ? Ainsi ton galant supplie... Et ton coeur l'en croit. Ah ! Ah ! Ah ! Ne donne un baiser, ma mie Que la bague au doigt... Ah ! Ah ! Ah ! |
Advanced search | Simple search | Start new search | Home page |