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443 résultats trouvés
Titre : | Faust ; laisse-moi contempler ton visage [duo du jardin] |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Gounod, Charles |
Interprète(s) : | Anonyme(s) ou interprète(s) non identifié(s) |
Genre : | Opéra |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Cylindre |
Format : | Lioret n°3 (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Lioret |
Date de l'enregistrement : | 1895-1900 |
Instruments : | orchestre acc. |
Couleur de la pâte : | Celluloïd blanc |
État : | tbon |
Vitesse (tours/minute) : | 118 |
Matériel employé au transfert : | Archéophone |
Date du transfert : | 05-02-2002 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-joint. Henri Lioret n'a jamais eu la maîtrise technique de son propre brevet consacré au moulage et à la duplication des cylindres, c'est pourquoi on ne trouve jamais deux exemplaires de la même session d'enregistrement chez Lioret. Voir à ce propos : Henri Chamoux, La diffusion de l'enregistrement sonore en France à la Belle Époque, 2015, pages 204 à 214 du pdf. Coll. Claude Rebours. Étiquette bleue. Duo. Sans annonce |
Texte du contenu : | Faust, acte III,
Duo MARGUERITE, FAUST, puis MÉPHISTOPHÉLÈS MARGUERITE (revient avec Faust) Il se fait tard, adieu ! FAUST Quoi ! je t'implore en vain ! Attends ! Laisse ta main s'oublier dans la mienne, Laisse-moi, contempler ton visage... Sous la pâle clarté Dont l'astre de la nuit, comme dans un nuage, Caresse, ta beauté. MARGUERITE O silence... ô bonheur ! Ineffable mystère !... Enivrante langueur !... J'écoute et je comprends cette voix solitaire Qui chante, dans mon coeur !... Laissez un peu, de grâce... FAUST Qu'est-ce donc ? MARGUERITE (effeuillant les pétales d'une fleur) Un simple jeu ! Laissez, laissez un peu ! FAUST Que dit ta bouche à voix basse ? MARGUERITE Il m'aime, il ne m'aime pas... FAUST Oui, crois en cette fleur éclose sous tes pas... Qu'elle soit pour ton coeur L'oracle du ciel même !... Il t'aime ! comprends-tu ce mot sublime et doux ? Aimer ! Porter en nous une ardeur toujours nouvelle !... Nous enivrer sans fin d'une joie éternelle ! MARGUERITE, FAUST Éternelle !... |
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