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409 résultats trouvés
Titre : | Pour ses parents |
Compositeur(s) et-ou auteur(s) : | Christiné, Henri |
Interprète(s) : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] |
Genre : | Café-concert |
Fichier audio : | |
Photo(s) : | |
Support d'enregistrement : | Disque |
Format : | 26 cm saphir étiquette (enregistrement acoustique) |
Lieu d'enregistrement : | Paris, France |
Marque de fabrique, label : | Pathé |
Numéro de double-face : | 4803 |
Numéro de catalogue : | 2112 |
Inscriptions complémentaires : | 28-2-19 |
Instruments : | chant homme, orchestre acc. |
État : | Exc+++ |
Vitesse (tours/minute) : | 77 |
Matériel employé au transfert : | Stanton 150, pointe 2,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss |
Date du transfert : | 06-04-2022 |
Commentaires : | Texte du contenu ci-dessous. On notera la présence d'un violon, ou autre instrument à cordes, authentique OVNI, véritable pionnier dans l ‘orchestre Pathé ! |
Texte du contenu : | Pour ses parents
Création : Mayol (1916) - Paroles, musique et éditeur : Henri Christiné Avec sa figure ingénue Ses cheveux d’or, ses yeux innocents Chaque jour, au coin d’une rue Elle vendait des fleurs aux passants Un monsieur à l’âme sensible Lui dit un soir, par un vent glacé : Vous faites un métier bien pénible Elle fit d’un ton lassé : {Refrain :} Ah ! monsieur ! c’est pour mes parents Si vous saviez comme ce sont de braves gens Moi, j’suis une honnête fille Et j’adore ma famille Il lui dit : Bravo, mon enfant Vous montrez là de très beaux sentiments ! J’peux vous montrer, qu’elle répliqua Des choses encor bien mieux qu’ça Comme le froid glaçait la petite Il l’emmena jusqu’à son logis Il lui dit : Couchez-vous bien vite ! Et gentiment la mit dans son lit La voyant toujours frissonnante Il la serra très fort dans ses bras Elle ferma les yeux, rougissante Et doucement murmura : {Refrain :} Ah ! monsieur ! c’est pour mes parents Si vous saviez comme ce sont de braves gens Moi, j’suis une honnête fille Et j’adore ma famille Dès demain, dit-il, s’échauffant J’vous chercherai une bonne place, mon enfant ! Elle s’écrie : N’attends pas à d’main Car la bonne place tu la tiens ! Le lendemain, le cœur plein d’ivresse Il s’écria : J’te garde avec moi Tu m’as prodigué des tendresses Dont j’ai les sens encor en émoi Avec ta figure charmante Tu possèdes un vrai tempérament Tu parais pourtant innocente Elle lui dit tranquillement : {Refrain :} Ah ! monsieur ! c’est pour mes parents Si vous saviez comme ce sont des braves gens Moi, j’suis une honnête fille Et j’adore ma famille Mes parents m’répètent tous les jours : Évite le mal et prends garde à l’amour Fais le bien. Alors moi, monsieur Je l’fais aussi bien que j’peux ! |
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