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Title : | Comment elles soupirent |
Composers and/or lyricists : | Christiné, Henri ; Mortreuil, Félix |
Performers : | Bravo |
Content type : | Café-concert |
Audio file : | |
Images : | |
Recording medium : | Disque |
Format : | 17 cm aiguille (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Zonophone international Company |
Catalogue number : | 12129 |
Recording date : | 1903 |
Condition : | Exc++ |
Speed (rpm) : | 83 |
Tools used for data transfer : | Stanton 150, pointe 3,0ET sur Shure, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar duo declickle, dehiss |
Transfer date : | 2023-09-13 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. |
Text or lyrics : | Comment elles soupirent
Création : Daubreuil, à l'Eden (1899) - reprises : Bravo, Dumoraize - Paroles : Félix Mortreuil - Musique : Henri Christiné - Éditeur : Maurel, Paris (1899) Dans la vie, chacun soupire Selon son tempérament La chose aimée qu'on désire Et l'excès du sentiment La vierge que l'amour pénètre Pense, le cœur boul'versé Un soir, étant à sa f'nêtre Au jeune homme qu'elle vit passer Au couvent, en rêvant le soir Elle soupire dans le dortoir : Cousin, partir d'ici Voiture, enl'vée, la nuit À toi, oh oui ! à vous C'est mal, c'est bon, c'est doux Elle croit qu'elle mange un morceau d' zan Voilà comment elle soupire à quinze ans Puis, le jour du mariage Quand la jeune fille a grandi Dans la joie d'être en ménage Heureuse, soupire le grand oui Pendant l' bal elle ne sait qu' dire Son bonheur est mal caché Car en somme elle ne soupire Que pour l'heure du coucher Quand les époux sont chez eux Elle soupire d'un air langoureux : Oh ! oui, je t'aime, assez ! Oh ! oui, j'ai peur, cessez ! Méchant, mon voile tout blanc ! C'est mal, Arthur, maman ! Quelques mois après ce oui-là De deux jumeaux, l'époux devient papa La veuve à la fleur de l'âge Quand son chagrin est passé Pense à d'autres mariages Pour oublier l' trépassé L'amour ardent la dévore Elle languit dans son sommeil C'est une fleur vive encore Qui meurt faute de soleil En rêvant au second mari Le soir, elle soupire dans son lit : Léon, restez, oh oui ! Soyez mignon, gentil Mon cœur à toi, chéri Minuit, va-t'en, merci Tous ses soupirs sont des aveux Vite, un époux, elle en d'mande, elle en veut ! |
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