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Title : | Sa mère veillait sur elle |
Composers and/or lyricists : | Christiné, Henri ; Dufleuve [Edmond Bouchaud] |
Performers : | Charlus [Louis-Napoléon Defer] |
Content type : | Café-concert |
Audio file : | |
Images : | |
Recording medium : | Disque |
Format : | 29 cm saphir sans étiquette, (enregistrement acoustique) |
Recording location : | Paris, France |
Manufacturer, label : | Pathé |
Double-side number : | 2736 |
Catalogue number : | 122 |
Matrix number : | 74707-RA |
Additional informations written on medium : | 29-3 |
Recording date : | 1911-1912 |
Instruments : | chant homme, orchestre acc. |
Condition : | Exc++ |
Speed (rpm) : | 86 |
Tools used for data transfer : | Stanton 150, pointe 1,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss |
Transfer date : | 2022-03-22 |
Comments : | Texte du contenu ci-dessous. Le bruit de chocs répétés (défaut de pantographe) que l'on entend surtout de 1'05'' à 1'10'' est conforme à l'original. Intéressante erreur d'étiquetage : le numéro correct pour le couplage, c'est à dire le numéro encadré d'un losange devrait être 2733 et non 2736. |
Text or lyrics : | Sa mère veillait sur elle
Création : Dufleuve (1911) - reprises : Dranem, Tramel, Paul Lack, Charlus Paroles : Bouchaud - Musique : Henri Christiné - Éditeur : Édition universelle (1911) Un jour, une pauvre petite rosetière Sortie du couvent des petits oiseaux Pour apprendre l’état de couturerière Sur le grand boulevard de Sébasto Sortant d’ son atelier, un soir Un homme l’accosta su' l’ trottoir {Refrain :} Heureusement, sa mère veillait sur elle Le jour, la nuit, le soir et le matin Car sans cela la pauvre jouvencelle Aurait sûrement pris le mauvais chemin Dans un hôtel meublé il l’emmèmène Elle prit son mouchoir et s’ mit à pleurer – Vous êtes bien pudique, ma sirèrène Dit-il, en l’embrassant pour la calmer Il embrassa ses bras, son cou Il l’embrassa un peu partout {au Refrain} – J’ suis pas un vaurien, je vous l’assussure Dit le grand scélérat, croyez-moi bien J’ai des beaux chevaux et des voitutures Puis au p’tit trottin il prit les deux mains Dans sa main gauche il mit un louis Dans l’autre je n’ sais pas c’ qu’il lui mit {au Refrain} Le monstre en fit une gigolelette Il envoya la belle sur le trottoir Le soir, il lui chipait sa galelette Qu’elle avait fourrée dans ses deux bas noirs Il lui prit tout ce qu’il voulut Il en aurait pris beaucoup plus {au Refrain} Mais un soir en s’ promenant dans la rurue Elle se fit pincer par l’agent Bourgeois Qui lui dit : Suivez-moi, l’ingégénue Ouste ! à la préfecture et d'puis, ma foi Elle a sa carte, parole d’honneur Comme qui dirait un électeur {au Refrain} |
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